Gwyndolin Vinheim (en cours)

NOM : Vinheim PRENOM : Gwyndolin RACE : Elfe AGE : Plusieurs centaines d'années. SEXE & SEXUALITE : Femme bisexuelle dominatrice. EQUIPEMENT(S) : - Sabre de Vinheim : Il s'agit d'une arme elfique, dont seul la lame rappelle quel talent possédaient les forgerons. Mis à part un tranchant rasoirs, cette arme ne dispose d'aucun pouvoir surnaturel. La couleur rougie du métal qui la compose n'est due qu'à sa longe utilisation comme catalyseur de la sorcellerie de Gwyndolin. Sa garde et sa poignée sont faits d'un métal lisse, gris mat, qui rappelle vaguement la pierre polie et mouillée. Le pommeau est en forme d'anneau, juste assez large pour laisser passer deux doigts de sa propriétaire. - Armure de Vinheim : Armure traditionnelle de la famille Vinheim, elle rappelle la finesse elfique, adoptant un style oriental dans sa confection en plaques superposées. L'armure est faite d'un métal souple, mais résistant, qui autorise une grande mobilité à sa porteuse. On remarque Gwyndolin pour le bon fonctionnement de sa sorcellerie. POUVOIR(S) : - Sorcellerie Lunaire, la Face Cachée : La magie que pratique notre belle elfe est tout sauf une magie bénéfique. Il s'agit d'une magie impliquant l'obscurité du corps, les ténèbres de la Lune. Mais cette lune n'a rien à voir avec l'astre. En réalité, il s'agit d'une lune plus métaphorique, ayant un rapport directe avec l'anatomie... Cet art occulte offre à Gwyndolin la faculté de trancher directement dans le tissus de la réalité, afin d'ouvrir des trous noirs, menant à un vide ténébreux à priori sans fond. Ces brèches peuvent servir à piéger les projectiles qu'on lui enverrait, qu'ils soient physiques ou magiques. Les êtres vivants qui se retrouvent piégés dedans sont directement expulsé. L'elfe elle même peut entrer dedans et ressortir ailleurs, en créant une autre brèche. Le phénomène ressemble à une téléportation, bien que Gwyndolin ai besoin de se déplacer dans les ténèbres pour atteindre l'endroit où elle doit ressortir. A l'intérieur d'un trou noir, la sorcière se déplace près de vingt fois plus vite, en ligne droite directe, sans qu'aucun obstacle ne s'interpose. - Sorcellerie Lunaire, l'Arpenteur des Ténèbres : Contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'Abysse auquel on accède par les failles que crée Gwyndolin n'est pas inhabité. A l'intérieur, se cache l'Arpenteur des Ténèbres. Cette créature n'a aucune forme définie et est d'ailleurs incapable de sortir de sa dimension par les trous noirs... ce qui ne l'empêche pas d'essayer. Si une brèche reste ouverte trop longtemps ou si la sorcière l'invoque, ce monstre peut sortir ses bras et agir sur le monde. Des bras, il en possède une infinité, qui se révèlent être des tentacules assez puissants pour tordre le métal. Cependant, ces tentacules sont aveugles et, donc, peu précis. De plus, tuer n'est pas une chose que l'Arpenteur des Ténèbres aime faire. Au lieu de ça, il ne se gêne pas pour violer les pauvres créatures qu'il réussirait à attraper. Il n'est pas invincible, ses tentacules étant aussi résistants que les tentacules de n'importe quel poulpe ou calamar (géant) qu'on pourrait trouver sur Erotica. Si on en tranche assez, l'Arpenteur se retirera dans les ténèbres, le temps de se régénérer. - Sorcellerie Lunaire, Sombre Sexualité : Gwyndolin dispose de quelques capacités annexes, liées à sa sorcellerie. Elle est capable de se faire apparaitre un sexe masculin, qui remplacera momentanément son vagin. Ce nouveau sexe est parfaitement fonctionnel, les testicules qui l'accompagnent produisant leur lot de sperme qui se révèle, au demeurant, infertile. En outre, le pénis surnaturel dispose d'une capacité à drainer l'énergie vitale et magique par les orifices qu'il pénètre. Ce drain d'énergie, l'elfe peut l'accomplir également à l'aide de sa bouche, en embrassant quelqu'un ou en lui léchant (profondément) l'arrière train. L'énergie ainsi dérobée permet à Gwyndolin de se sustenter, remplaçant potentiellement tout besoin de boire, de manger, de dormir voire même de respirer. Enfin, Gwyndolin peut utiliser cette énergie pour graver une rune, sa marque, sur une personne ou un objet. L'opération requiert du temps et un sujet parfaitement immobile pendant au moins une heure. A terme, la victime de ce sceau devient incapable d'entreprendre une action d'agression physique ou mental sur la sorcière et la pousse à se masturber l'anus au moins une fois par jour... si personne ne peut lui cajoler l'endroit.

Histoire :
La famille Vinheim fait partie des plus vieilles familles elfiques d'Erotica. Ils ont participé à la guerre contre les démons et y ont prélevé leur tribut de sang. Depuis toujours, cette famille est réputée pour avoir pratiqué une sorcellerie obscure, mais respectant malgré tout le code moral de leur propre civilisation. Lorsque le schisme s'opéra au sein de leur peuple, les Vinheim refusèrent de retourner dans la foret, préférant plutôt demeurer sous la tutelle du roi, au sein de la grande cité. Là, ils poursuivirent leurs recherches, visant à parfaire leur art, dans une quête aveugle où la découverte de davantage de savoir, la récupération de davantage de pouvoir, était un but en soit et non pas un moyen. Petit à petit, les héros de la guerre, les grands érudits qu'ils étaient aux yeux de leurs frères et soeurs de race devinrent des ermites, ne sortant plus de leur grande propriété, oubliant de participer à la vie de la capitale et ne se montrant qu'en de rares occasions, dans les rayonnages les plus obscures des bibliothèques elfiques. C'est dans cette ambiance secrète qu'Gwyndolin vit le jours, destinée à être un rat de bibliothèque tout comme ses parents et ses grands parents avant elle.

Un évènement, cependant, devait la différencier de ses aïeuls, ainsi que du reste de son peuple, à jamais. Déjà avide de pouvoirs, la jeune elfe découvrit l'existence de la dimension noire, les Abysses, un lieu où rien n'existe mais duquel on peut puiser une étrange énergie, dans les ténèbres de laquelle rôde un savoir inconnu. La première fois qu'elle tenta d'ouvrir une brèche se solva par... une réussite. Il aurait mieux valut pour la donzelle qu'elle échoue. Debout milieu d'un cercle de pouvoir, une dague à la main, la petite sorcière incantait. Ses paroles, nimbées de pouvoir, s'élevaient doucement, assombrissant un voile sombre, parfaitement plat. Fermant les yeux, Gwyndolin abat sa lame, perçant le voile. D'un mouvement sec, elle tire vers le bas, tranchant l'air comme s'il était fait de tissus. Tandis que les pans de la brèche tombaient, la Vinheim regarda de l'autre côté. C'était sombre, vide. Pourtant, une étrange énergie pulsait, libre, dans ce vide. Trop curieuse, l'elfe tendit la main vers les ténèbres. Ses doigts étaient à peine engagés dans la brèche qu'un contact froid se fit sur sa main. La retirant vivement, la brunette sentit le contact migrer vers son poignet. De fait, en retirant son bras, Gwyndolin avait ramené quelque chose :

Un tentacule sombre, fait de chair et de sang, la reliait encore aux ténèbres. Son contact était froid, mais étrangement doux. Choquée, l'intérieur de la brèche, elle s'attendait à voir apparaitre le reste de la créature. Au lieu de ça, un simple point lumineux apparut au centre de la brèche, une lueur venue du plus profond des Abysses. L'ouverture entre les dimensions ressemble désormais à un oeil étrange. Une voix, faible, lointaine, murmure quelques paroles incompréhensibles. Pourtant il y avait une promesse de savoir et de pouvoir, un échange... Gwyndolin en était sure. Indécise, regardant un instant l'appendice lui retenant le poignet, elle fixa l'Oeil.

- Qu-quel savoir ?

La lueur formant sa pupille sembla s'élargir, comme si cet interlocuteur singulier se rapprochait, au travers le vide de son univers. D'autres tentacules sortent à leur tour, par les bords de la plaie dimensionnelle, pour se ruer sur Gwyndolin. En moins de temps qu'il ne fallait, l'elfette se retrouva nue, bras et jambes tenus écartés par les tentacules de la chose. D'autres de ces membres puissants se postèrent devant ses trois orifices, pour les forcer sans ménagements, tandis que d'autres venaient sucer, voire lécher, chaque parcelle de son corps. Le plaisir qui la prend est trop intense, l'oeil la fixe toujours, alors qu'elle à l'impression de mourir, trop sollicitée, trop fort, trop profond... Sans répits, la créature la visite en long, en large et en travers, pour finalement la remplir de semence parfaitement... normale ? La jeune sorcière ne pouvait tenir la cadence. Frappée par un orgasme foudroyant, incapable de respirer, la pauvrette perdit connaissance.

Le lendemain, au réveil, la brèche était refermée. Son état de fatigue, la sensation épuisante d'avoir toujours les différentes voies investies, l'empêchèrent de bouger. Il lui fallut rester allonger plus longtemps, avant de se relever. Le cercle magique était en chantier. Les chandelles qui n'étaient pas tombées avaient été noyées par... du sperme. Incrédule, frottant son derrière douloureux, Gwyndolin se demandait comment un monstre orgasmique pouvait révéler quelques secrets que ce fut. Pourtant, la portée de ses paroles, leur puissance, ne laissaient aucun doute. Cette chose, qui arpentait les ténèbres, connaissait bien des secrets. La jeune sorcière était déchirée. Le savoir qu'on lui proposait était réel, mais le prix à payer, face à pareille créature, risquait d'être élevé. A vrai dire, l'elfette craignait même de ne pas survivre à une seconde session tentaculaire. Pourtant, le soir venu, les cierges étaient de nouveau allumés, disposés de manière adéquate. Gwyndolin prononçait une fois encore les incantations maudites, avant de poignarder la réalité. La brèche s'ouvrit et, avec elle, l'Arpenteur des Ténèbres se dévoila à nouveau. Seul sa curiosité dévorante l'empêchait de fuir à toutes jambes, tandis que les tentacules sombres sortaient de l'ouverture, à la manière d'un monstre issus des profondeurs marines. L'oeil abyssal fixait celle qui l'avait invoqué, ses murmures se propageant hors de l'obscurité. Si L'elfe était prête à payer, alors il serait prêt à lui enseigner... A peine Gwyndolin avait elle signalé son accord que, déjà, les appendices surnaturels l'attrapaient, pour la faire disparaitre dans les Abysses.


Il était une fois un dieu qui naquit à Erotica. A l'origine, ce dieu n'était autre qu'un démon. Un démon très puissant, qui brilla intensément pendant la première guerre contre les anges, éliminant de nombreux individus ailés. Plus tard, il croisa plusieurs fois la route des divinités, n'ayant pas à rougir de leur grandeur et, pourtant, la jalousant en secret. Lorsqu'ils disparurent, enfermés derrière les murs de leur citadelle blanche, le démon d’enorgueillis de sa toute puissance. Eventuellement, rongé par son propre égo, il se dirigea vers le château, pour défier ses occupants et réclamer une place à leurs côtés. Ce qui n'avait pas été prévu, c'est que l'homme parvint à remporter la victoire, son essence divine décuplant ses forces déjà grandes de manière invraisemblables. Cette assurance qui l'avait propulsé aux sommets devrait pourtant se révéler être sa plus grande faiblesse. Toujours obnubilé par sa propre supériorité, le dieu décida de quitter la demeure de ses pairs divins, pour répandre sa religion sur le monde. Son attitude déplut finalement à la Déesse Mère, qui le propulsa hors du monde, le bannissant à jamais ou jusqu'à ce qu'il renonce à sa puissance. Trop avide, le dieu démoniaque refusa d'abandonner son pouvoirs, les portes d'Erotica lui demeurèrent fermées, à jamais...

Jusqu'au jours où, explorant les recoins de la magie, Une jeune sorcière Elfe lui ouvre une brèche. Pendant les millénaires passés à s'étendre dans le vide des Abysses, le dieu avait changé. Il était devenu plus grand, plus large. Il occupait l'infini du néant, changeant de forme, d'esprit, pour devenir quelque chose d'incompréhensible. Il vit dans cette jeune femme le moyen de sortir, peut être. Après l'avoir attirée par une soif de supériorité qui lui rappelait son ancienne psyché, l'Arpenteur des Ténèbres l'attira avec lui, hors du monde. Là, il s'insinua en elle, longtemps. Puis il la relâcha. Son pion était en marche.


Gwyndolin se réveilla le lendemain, au centre du cercle de pouvoirs, nue. Ses iris incandescents se posèrent sur les chandelles renversées. Levant sa main devant ses yeux, l'elfe haussa un sourcil. Sa peau avait pâlit. Se relevant, courbatue, la jeune sorcière alla chercher un miroir. Quelques changements s'étaient opérés. Sa chevelure noire virait au roux, ses yeux brillaient d'une lueur écarlate. Loin de l'inquiéter, ces changement semblèrent lui plaire, à en juger par le sourire carnassier qui s'étira sur ses lèvres. D'une main, elle se toucha le sein, le soupesant. L'autre glissait sur son ventre, jusqu'à son intimité. Mais au lieu de l'écraser dans sa main, Gwyndolin s'ouvre du bout des doigts. Un troisième, central, vient caresser le bourgeon de chair qui grossit. Un fier pénis se dresse en quelques secondes, projetant un reflet étrange à la jeune sorcière. Du bout de l'index, la donzelle explorait cette nouvelle partie de son anatomie, éprouvant la sensation de la pointe, du corps... serrant parfois si nécessaire. Puis elle soupira et la raideur phallique disparait comme par enchantement.


Concrètement, la vie de Gwyndolin n'avait pas tellement changé. Elle étudiait toujours la magie, cherchait sans cesse de nouvelles sources de connaissances. Au départ, elle évitait un maximum d'invoquer l'Arpenteur, mais petit à petit, les bénéfices qu'elle en tirait évaporait ses scrupules. Apprenant à trancher la réalité plus efficacement, la sorcière récupéra le sabre familial, pour en faire son arme de prédilection. Apprenant patiemment à comprendre la chose dans les ténèbres, la jeune Vinheim parvint à tirer partit de la place immense de l'entité dans le vide. Il pouvait la déplacer, jusqu'à un point précis. Certes il lui fallait évaluer la distance approximative, afin de ne pas aller trop loin. Auprès de ses parents, leur cadette était parvenue à ouvrir des portails de téléportation. Son frère, cependant, comprit qu'elle avait accès à une dimension de poche où se cacher et se déplacer. Il était loin d'imaginer qu'il fallait vivre au contact de l'inimaginable à l'intérieur. Au départ, pratiquer ce genre de déplacements avait la fâcheuse tendance à détruire les vêtements et sous vêtements de Gwyndolin. La sorcière opta pour une armure laissant l'entrejambe totalement libre. Bien sûr, en publique, elle se couvrait d'un pagne, mais ses intimités devaient être accessibles à chaque "saut". Rapidement, la chose demanda à son invitée de dénuder son cœur, afin de voir par lui.



Caractère : (5 lignes min.)

Physique et style vestimentaire : (5 lignes min.)


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