Racontre entre un elfe et une déchu [PV: Lënésa]

C'était une belle journée ensoleiller avec le soleil qui vient de se réveille et il y avait un coq qui crie pour réveille les gens, en plus le coq est sur le toit de la forge de Willhelm qui a des oreilles fines pour entendre de loin les sons, mais le coq qui était de trop ...Sur cette belle matinée qui était bien silencieuse avant que le coq crie... Will se lève toujours à des heures très tôt durant qu'il n'a pas grand monde de réveille, il a pris le temps d'aille chercher du sable avec son gros tonneau pour les armes et les armures qui ne rouillent pas avec le sable propre près de la plage de l'Océan, le seul lieu qui est dans le coin pour le moment. L'elfe ramène le tonneau de sable en le roulant sur le côté pour le pousser vers sa forge pour les équipements qu'il peut vendre et qui peut durer très longtemps sans être brisé.

Il prépare sa forge sans l'allumer le feu mais l'elfe place son équipement de forge en place pour accueillir les clients chez lui à la place des autres forgerons qui sont plus payant que lui et Will est un marchand qui offre un meilleur prix à ses clients et le matériel qui est mieux choit et plus dur à briser.

[Pitié, fais attention à tes grammaires et orthographes, ton texte est pourri de fautes et de phrases qui n’ont aucun sens !]

L’air de cette ville avait un quelque chose de différent. Non que Lënésa fut une experte en la matière. Après tout, elle ne connaissait pas bien la surface d’Erotica, puisqu’elle avait vécu toute sa vie entre Angelica et la Forêt Endormie. Deux mondes très différents, extrêmes, qui n’avaient rien à voir avec une ville normale. C’était d’ailleurs exactement ce qu’elle venait chercher ici : le goût d’une vie ordinaire, voir comment les gens vivaient au quotidien.

Lyre soigneusement attachée dans le dos, petite besace de voyage à la hanche, mais tenant fermement sa lance, Leen profitait de l’heure matinale pour se promener dans les rues qui s’éveillaient. Elle cherchait un bon coin où s’installer, pour observer le passage des citadins et leurs rapports. Pour se faire, elle avait dissimulé sa nature de déchu : ailes noirs et auréole marquée avaient disparu, et désormais, aux yeux de tous, elle était pareille aux elfes, sylves et autres créatures qui ne portaient pas distinctement les attributs de leur race.

Nessa profita de l’ouverture d’une boulangerie pour s’acheter une brioche chaude et moelleuse, tout juste sortie du moule, qu’elle agrémenta d’une bouteille de lait frais, négociée avec le livreur local. Des petits plaisirs de la vie qu’elle goûtait avec joie, elle qui avait toujours connu le collier de l’autorité qui avait toujours dirigée sa vie.

Chantonnant un petit air de sa composition, la jeune femme déboucha dans une ruelle commerçante, si elle en jugeait par les échoppes, bien que beaucoup des devantures soient encore fermées. Seul un forgeron était debout… et encore… le brasier qui lui servait à modeler fer, acier et autres métaux en tout genre ne brûlait pas encore. Cependant, Lënésa trouva qu’il s’agissait là d’un bon point d’observation. Elle qui voulait devenir barde devait se familiariser avec son public, ses problèmes, ses domaines de joie, de préoccupations…

Déposant sa lance contre le mur, la jeune femme se hissa sur un muret qui délimitait un petit jardin public. Jambes croisées devant elle, elle continua son petit-déjeuner. A sa droite, elle voyait une petite place et une fontaine, et vers sa gauche, la rue remontait vers un quartier d’habitations. La forge était presqu’en face d’elle, et puisqu’il s’agissait là de la seule chose « vivante », Leen se mit à observer d’un air nonchalant mais intéressé l’artisan…

Le jeune homme elfique a fini de placer, ses outils de forge puis bouge ses longues oreilles qui sont cachées sous son cuir chevelure doré à ce moment précise, il remarque qu'il avait une seule personne qui est devant sa forge. Il se demande bien qui était cette charmante demoiselle qui a beaucoup de charme à son œil d'elfe même qui est-elle vraiment, il remarque aussi avec cette demoiselle à une lance qui est spéciale et étrange sous son regard ?

Will a sorti de sa forge puis il verrouille la porte avec sa clé, il ne se sépare jamais de sa harpe qui vient de sa mère qui s'occupe de lui durant la moitié de la vie de Willhelm. Le jeune elfe s'assoit sur un tonneau près de la forge puis sort sa harpe en regardant la mystérieuse femme. L'elfe touche aux cordes de sa harpe avec un bon doigter d'expert et avec de la délicatesse pour pas brisé les cordes de la harpe. Will prend un rythme très doux et calme qui détend l'atmosphère autour de lui.

Même les oiseaux viennent à lui pour se déposer sur sa harpe et à côté de lui, même sur son épaule. Les oiseaux chantent très paisiblement à côté de Will qui sourit bien tranquillement en jouent de la harpe durant qu'il avait pas trop de monde dans les rues du quartiers populaires.

Le jeune homme ouvre les yeux pour regarder la demoiselle avec un doux sourire aux lèvres bien tranquillement près de son tonneau en offrant une mélodie à la charmante demoiselle qui se trouve près d'une murale en face de lui.

[J'espère que c'est mieux ?]