Lycan et lycante à la croisée de chemins [PV Noirin]

Des années durant Aemon avait parcouru en long et en large les terres d'Erotica. Ses vagabondages étaient en partie obligatoire, après tout, il était exilé de son clan et n'avait nul autre toit que le ciel étoilé. Bien sur, il allait régulièrement en ville pour se ravitailler en provision. Toutefois, jamais il n'avait pensé s'installer là-bas. La protection des arbres et de la faune étaient plus familiers à ses yeux. Après tout, il avait vécu en nomade pendant cinquante longues années, le lycan savait comment survivre seul dans la nature tout en gardant une bonne hygiène, en faisant de l'exercice pour ne perdre en rien son corps sculpté depuis tout petit. Guerrier dans l'âme, il chassait sans problème les bêtes moins imposantes que lui. Bref, sa punition pour avoir tué l'un des siens était bien mince, surtout qu'il s'y était fait avec le temps. De l'eau avait coulé sous les ponts, il avait rencontré d'autres personnes, de toute race d'ailleurs et amené plusieurs femmes vers son lit.

De nouveau, le voilà sur la route, dissimulé sous une épaisse cape marron de voyage. Il ne fait pas froid, d'ailleurs, il ne le ressent pas tellement en soi. Plus important, il fait nuit et ce jour là, la lune était bien belle dans le ciel. Dans quelques jours, la pleine lune apparaitrait, accompagnée de hurlements partout dans les alentours. Cette journée était comme bénite par certains et maudites par d'autres qui considéraient leur don comme une malédiction. De son côté, les jours de pleine lune étaient toujours floues. Il se transformait ce moment là en loup blanc et traversait les étendues sauvages à toute allure, juste pour sentir le vent dans ses poils courts. Un sourire étira ses lèvres minces lorsqu'il se rémora la satisfaction qu'il avait d'avoir l'esprit comme en apesanteur au-dessus de ce corps à quatre pattes. Il lui arrivait par moment de le contrôler entièrement, mais la situation était assez rare. A chaque pleine lune, il essayait d'avoir de plus en plus le contrôle sur son corps et la détermination farouche qu'il employait lui avait permise d'achever ce projet, non sans ressentir par la suite une horrible migraine.

Arrivé à un croisement de chemin, le lycan décida de s'arrêter là pour la nuit. Il se retira un peu plus loin, juste à l'abri d'un arbre et s'installa tout bonnement par terre. Il créa un feu à partir de brindilles, puis s'allongea à côté en observant les étoiles de ses yeux rouges. La vie d'un nomade est agréable, mais à cet instant précis, il aurait aimé avoir la compagnie d'une femme. Même si il était solitaire dans l'âme, Aemon ressentait ces sentiments de manque sans pouvoir rien faire contre. Après tout, il ne pouvait pas faire apparaitre une lycante d'un claquement de doigt. A cette pensée, il claqua des doigts quand soudain, son ouïe aiguisée détecta le bruit de pas. Quelqu'un s'approchait lentement de son emplacement.

Messages : 19 Date d'inscription : 25/02/2010

Je n’en peux plus, je n’en peux plus cette solitude vas me tuer, cette solitude vas m’épuiser…

Marchant sur les chemins je me sens de plus en plus seule, il me manque quelque chose mais je ne sais pas vraiment quoi. Non en fait je me ment je sais bien ce qu’il me manque, un compagnon, un être comme moi, qui comprendraient mes envies de vivre en meute… La plus par des êtres de cette terre son solitaire, devenant fou quand il son trop nombreux, mais moi je me languis des chasses en groupe, je me langui des moments passer à dormir prés d’un compagnon…
J’ai essaye de me joindre à une meute de loup, mais mon odeur les troublait, je n’étais pas acceptée, c’est presque mon histoire depuis quelque temps. C’est ma faute si il s sont tous mort… Si ma meute est presque décimée, j’aurais du les protéger et j’ai fait autre chose…

Pourtant j’aimerais tant pouvoir retrouver un de mes semblables, pour essayer de refaire avec lui un groupe une meute, exterminer ensuite les démon… Oui cela me plairais bien…
Soupirant je me passe une main dans mes cheveux sombres, je les ai tresser pour qu’il ne me gêne pas, je me suis aussi vêtue d’une tenue de cuir noir, simplement parce que j’aime l’effet seconde peau que cela me fait, j’ai l’impression que mon corps est dévoiler alors qu’il est cacher. Ma peau blanche ressort dans tous ce noir, tous comme mes yeux rouge, je suis belle et sauvage, je fait peu souvent quand les être vivant me croise, il n’ose pas me parler, sûrement parce que je ne leur souris pas… Mais a quoi bon sourire, je n’aime pas ces êtres qui n’on aucune idée de ce qu’est d’être loup…

La nuit était belle, magnifique comme toujours, j’adore marcher quand la lune se lève, impatiente de retrouver cet état étrange qui me fait devenir presque folle, j’aime la folie qui envahis mon corps a ces moments la, je sais que les transformation de la pleine lune peuvent être douloureuse, mais pour tout dire j’aime la douleur que cela me donne… J’ai l’impression de vivre pleinement, et puis quand je me mets a vivre, a devenir vraiment moi… Si je déteste les démon, je les remercie de nous avoir créer, il n’aurais pas put faire quelque chose de plus parfais que nous.

Je marchais pieds nu, ne faisant presque pas de bruit, une habitude, alors que je me dit que j’irais bien dormir dans un coin, je sentit l’odeur d’un feu, tiens est-ce qu’un inconscient passait la nuit dans les bois… Je me souris a moi même, avant de m’avancer, direction l’odeur du feu… Oui j’avais bien envie de passer un moment en compagnie de quelqu’un…

Plus je m’approchait, plus l’odeur de l’homme se mêlait au feu, a un tels point que j’en frémit, est-ce un lycan comme moi, d’après l’odeur je pouvait dire que lui, je sentait mon cœur battre un peu plus vite, et mon souffle se faire plus rapide, d’un pas je passait de la nuit a la lueur du feu, mes yeux rouges plongeant dans les yeux de l’autre.. Alors que je souris doucement, dévoilant des canines.. De belle petit canine.

« Bonsoir, puis-je partager votre feu . »

Fichue chaleur qui monte dans mon corps, je suis en plein période de chaleur et je le sais, mon corps envoie des signaux a l’homme.. Sous ma tenue de cuir, mes seins monte et descende doucement… Cela fait si longtemps…

La nuit est calme, tellement calme. Normal vu l'heure. Mais aussi il faut dire que personne ne souhait croiser le chemin d'un lycan. Ces êtres sont issus d'une union si peu naturelle qu'ils sont repoussés par d'autres. Lorsqu'il va en ville, Aemon fait son possible pour passer inaperçu, rester discret et faire ce qu'il a à faire. Cette vie, il la mène depuis longtemps, mais l'envie de vivre, d'être accepté se fait de plus en plus fort. Lorsqu'il pensait que son clan ne lui manquerait pas, il avait fait erreur. Non, depuis qu'il les avait quitté, c'était comme une partie de son âme qu'il avait abandonné. Le guerrier aimait se battre pour ces gens qui l'avaient entourés depuis tout petit, non pas qu'il leur témoignait de l'affection, mais plutôt une certaine habitude de les avoir aux alentours.

Hélas, il était un reclus, il n'était plus question de penser un jour les revoir sans se faire attaquer, telles étaient les traditions. Si il les voyait, il devait les fuir. Si ils se faisaient attaquer, il devait leur tourner le dos, car il n'était plus des leurs. Triste, n'est-ce pas? Plus que tout, le besoin d'une compagne était présent, et au moment où il claquait des doigts, la voix d'une femme se faisait entendre. Tiens donc, est-ce qu'il était devenu magicien? Le lycan se redressa sans pour autant se lever, pour voir apparaitre devant lui, une femme sans âge, une beauté à couper le souffle. Plus que tout, ce sont ses yeux qui avaient captés son attention ainsi que ses canines. Les narines du guerrier frémirent délicieusement à son arrivée, son parfum envahissait les alentours et il se sentait pris d'une ivresse certaine.

"Venez, je vous en prie."

Prudent, il ne l'approche pas immédiatement. Est-ce que son esprit lui jouait des tours? Non, il était certain maintenant en la regardant, elle était de sa race, elle était comme lui, lycante! Etait-ce là un cadeau du ciel? Il ne croyait pas en une quelconque divinité, il ne croyait que en ce sentiment qui animait les hommes sur le champ de bataille, ainsi qu'au sentiment de désir mutuel. Aemon réfléchit longtemps avant d'oser poser la question qui lui brulait les lèvres.

"Etes-vous... êtes-vous bien une lycante? Cela fait des lunes que je n'ai pas revu quelqu'un de ma race... Je ne me rappelais pas à quel point elle était magnifique..."

Assis proche de l'inconnue, il la fixait intensément, dans son ventre, l'envie d'elle grandissait de seconde en seconde. Cette lycante était magnifique, jamais il n'en avait vu de plus belle et de plus désirable. Et pourtant, il venait à peine de la rencontrer. Le guerrier n'était pas du genre à se perdre dans la parole, il était plutôt du genre à faire parler son corps et faire la connaissance de l'autre par cette douce manière. Malgré tout, la solitude lui avait apprise qu'il ne fallait pas précipiter les choses. La femme venait juste d'arriver, il devait se montrer patient, écouter encore sa voix qui envoutait ses sens et obscurcissait son jugement.

"Je me nomme Aemon Eis..."

Messages : 19 Date d'inscription : 25/02/2010

Dieu que la meute lui manquait, mais je ne pourrais plus les regarder dans les yeux, parce que je me sentais coupable de les avoir tous tuer… Ou presque… Il la priait de s’asseoir avec le sourire je prit place non loin de lui, respirant avec plaisir l’odeur de sauvagerie qui se dégageaient de l’homme, dieu qu’il sentait bon, c’était si plaisant de le sentir comme cela..

« Oui comme vous non ? »

Bien sur que je suis lycante, jamais je n’ai désirer être autre chose. Je rougis légèrement a son compliment simplement parce que je n’en ai plus l’habitude, je n’ai plus l’habitude que l’on me trouve belle, parce que ce je n’avais plus cotoyer un de miens depuis longtemps, mais l’envie de m’accoupler se faisait plus forte…

De plus je me sentait en chaleur, pas de la folie qui m’emplissait a certain moment mais de vrai chaleur, j’avais besoin que quelqu’un de ma race s’accouple avec moi.. Doucement je m’approche de l’homme, lui souriant doucement… Mes cheveux noir tombant devant mon visage.

« Moi c’est Nóirín Kirane »

Délicatement je tends la main venant effleurer le visage de l’homme mon sourire se faisant plus présent, comme si j’était heureuse de retrouver quelqu’un comme moi, ce qui est un peu le cas, je me réjouis d’être en sa présence. Approchant mon visage, je lui souris doucement, ma bouche si proche de la sienne.

« je suis tellement heureuse de voir quelqu’un comme moi, cela me manquait tellement. »

Me penchant un peu plus je laisse mes lèvres venir frôler sa joue, mes seins frôlant son bras, j’ai une poitrine généreuse et je le sais

Le destin jouait en sa faveur. Au moment où il aurait le plus espérer trouver une lycante, elle venait vers lui, magnifique beauté de la nuit qui lui demandait si elle pouvait s'approcher de son feu. Aemon ne pouvait pas lui refuser cela, en particulier avec les atouts qu'elle possédait et par dessus, tout, le fait qu'elle soit l'une des siens. Il n'en avait pas vu depuis longtemps c'est pourquoi il posa malgré tout la question, était-elle comme lui? Est-ce qu'une louve solitaire se cachait en elle?

"En effet... tout comme moi."

Il ne pouvait s'empêcher de la complimenter, elle était belle, non, elle était la beauté suprême, personne n'arrivait à sa cheville, si parfaite, si attirante. Son visage est beau, ses lèvres pulpeuses appèlent au baiser. Et sa tenue en cuir, elle ne cachait pas la naissance d'un grand décolleté, comprimés, ils ne voulaient qu'être libérés. Elle aussi semble avoir les mêmes envies que lui, elle le regarde intensément, lui est envouté par le son mélodieux de sa voix. Avec son accord, elle s'installe à côté de lui, assez proche pour qu'il puisse voir les flammes de son feu, bruler dans ses yeux rouges. Des yeux comme ça, il n'en avait pas vu depuis quelques années. Son clan, les siens, si il les avait perdu, il avait gagné au change en rencontrant cette lycante. Qui sait, peut-être qu'ils pourraient se connaitre, voyager ensemble... Depuis le temps qu'il recherchait quelqu'un de son espèce, il ne pouvait pas refuser quoique ce soit.

"Votre nom sonne merveilleusement bien dans mes oreilles."

Ses lèvres s'étirent alors un peu plus dans un sourire. La main de Noirin vient lui caresser la joue, il ne quitte pas son regard sauvage et rempli de désir. Etait-ce une impression ou bien plus sa proximité était grande et plus cette lycante lui donnait envie? Leurs visages, si proche, il sentait son haleine parfumée, il sentait l'odeur de sa peau.

"J'ai vagabondé des années sur ces terres et j'ai enfin découvert ce que je cherchais."

Doucement, sa poitrine se comprimait contre son bras, il ferme les yeux en laissant les lèvres de l'inconnue glisser sur sa joue. La douceur de ses doigts est merveilleuse. Lui aussi, dépose un baiser sur sa joue, et puis soudain, ses lèvres capturent les siennes, leur nature véritable se révélait à ce moment là. Immédiatement, sa langue se glissait dans sa bouche, il sentait les canines prononcées de la lycante, il goutait à sa salive en l'embrassant sauvagement, puis rompt d'un coup le baiser en grondant de satisfaction. Dans sa tunique noire, Aimon attire à lui cette partenaire de ses bras forts. A moitié allongée, son buste est appuyé contre le sien alors qu'il renouvelle l'expérience d'un baiser fougueux. Attirance mutuelle, les paroles n'étaient pas nécessaire pour se comprendre. Chacun avait connu un manque, un manque de l'esprit de meute, d'un pair proche de soi et ce soir, la délivrance venait enfin, c'était comme si ils s'étaient cherchés et s'étaient enfin trouvés. Son visage se sépara à nouveau, et il la regarda longtemps avant de lui murmurer:

"Est-ce qu'il vous est arrivé de tendre l'oreille pendant la nuit, de rechercher un hurlement dans les pénombres? Toutes les nuits, je voulais retrouver quelqu'un qui appartiendrait à notre grande famille, mais je revenais toujours bredouille. Banni j'ai été, mais ce n'est pas pour autant que mon amour pour les miens n'a changé. Noirin Kirane, votre présence ici ce soir est une bénédiction."

Messages : 19 Date d'inscription : 25/02/2010

Cela faisait si longtemps que je n’avais plus vraiment désirer, que je n’avais plus eu vraiment envie de quelqu’un, et pas seulement pousser par une pulsion que je ne comprenait, je savait qu’a cet instant en plus de mon envie de lui venait s’ajouter, la passion qui habitide chaque animale au moment opportum... Bref j’était en chaleur, mais je le désirais aussi comme une femme. Vagabon sur les terre, alors lui aussi avait perdu sa meute, elle ne comprenait pas ces loups qui voulait sans cesse vivre seule. Non vraiment elle ne les comprenais pas.

Enfin le baiser viens effleurer mes lévres, dieux que j’adore sentir ces lévres dévorer les miennes, j’ai l’impression de perdre pieds, sans que je n’en prenne conscience, j’enroule mes bras autour de son coup, dieu que c’est bon comme baiser, voila longtemps que je n’avait plus sentit une telle envie.
Dans mon dos je sent quelque chose se passer, a non mon don vas encore me jouer un tour, comme a chaque fois que je resent trop d’exitation, il me pousse une queue de loup, et les oreilles qui vont avec... D’ailleurs, les apendices, son d’un gris pale, presque blanc.. Bref cela tranche avec le reste.

Un deuxiéme baiser, qui me fait facillier, me laissant le souffle un peu cours, dieu que je n’ai plus l’habitude.

« Oui j’écoutait chaque nuit, le silence, dépitée de ne trouver aucun écho a mes cris.»

Une benediction, ma présence ne doit pas être une benediction, pourtant je plonge mon visage dans le coup du Lycan, venant renifler son odeur, ma queue de loup, bougeant dans mon dos... Avant que je ne vienne le mordiller doucement, dieu que c’est bon cette odeur.
Doucement je glisse mes doigts sous sa chemise noir, pour toucher avec plaisir les muscles de l’homme... Humm il sont vraiment bien dure... vraiment appetissant...

La créature de la nuit était aussi parfaite qu'il l'avait imaginée. Souvent Aemon avait rêvé de retrouver les bras d'une lycante, beauté sauvage qui aurait comblé ses envies et avec qui il aurait refait les choses. Celle-ci dépassait l'entendement, elle était réelle et ses lèvres étaient un mets délicat à déguster avec parcimonie. La passion qui habitait leur corps les poussait l'un contre l'autre, l'appel du loup, un appel silencieux que seuls les lycans pouvaient entendre et comprendre. Quelque part, un lycan solitaire avait demandé de pouvoir trouver l'une des siennes, et la chose s'était produite immédiatement.

Vivre seul était un bonheur et à la fois un calvaire, aussitôt qu'il repensait à son clan. Il avait perdu les siens à cause de son acte irréfléchi, il avait tué son propre sang alors il devait se repentir pour le restant de ses jours en vivant à l'écart d'eux. Un loup ne peut être solitaire, il a besoin de sa meute pour vivre. La tristesse qu'il avait éprouvé les premiers jours revenait en même temps que le soulagement faisait son apparition. Elle aussi était seule, elle avait besoin d'une meute, ils pouvaient rester ensemble pour en fonder une si elle voulait porter les entrailles d'un nouveau clan.

"Vous êtes la réponse à mon cri, tout comme je suis la réponse au votre."

Le lycan gronda de contentement en l'embrassant fougueusement. Même sans la connaitre, il savait que la lycante était digne de partager sa couche, l'intuition, ou peut-être le désir faussait son jugement. Il fut étonné en ouvrant les yeux de voir l'apparence un peu changée de la louve. Elle avait une queue et des oreilles maintenant ce qui ne la rendait que plus attirante. La main de la lycante venait se promener sous son haut, doucement dessiner le contour de ses muscles, ce contact lui avait terriblement manqué. Ils étaient tous deux naturellement d'accord pour cette union, ils en avaient tellement envie, il était hors de question de se refuser à l'autre.

D'un coup, le lycan lâcha son amante de la nuit pour s'attarder sur sa tenue en cuir, la naissance de sa poitrine était bien visible, comme si elle menaçait de s'échapper de l'enveloppe de vêtements. Il la découvrait en grondant de contentement avec ce qu'il découvrait, son corps était une perfection, Aemon gronda un peu plus en lui mordant délicatement le cou sans lui faire mal, juste pour le plaisir d'enfoncer ses dents dans sa chair. Son souffle chaud se posa alors sur son cou et il lui murmura:

"Fondons une nouvelle meute, une nouvelle famille où nous nous sentirons chez nous..."

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