Un appel [Anowen]

Arès était vêtu d'un foulard autour du cou. Il était écarlate comme ses cheveux et il descendait presque jusqu'au sol. Déjà autour d'elle il y avait trois cadavres. Des brigands, une cible de choix pour ce qu'elle avait à faire. Ce n'est pas qu'elle avait le choix, elle devait entrer en contact avec une alliée au château blanc... Une alliée qui devait se souvenir d'elle du moins. Dans l'espoir qu'elle n'est pas été Déchue elle aussi...

Elle évite le coup d'épée sauvage du quatrième brigand et plante sa chevelure dans son corps. L'homme pousse un cri de douleur qui fait frémir Arès, mais elle se devait d'être le plus brutale possible. D'un mouvement sec, chacun de ces couettes s'élance dans une direction différente, ouvrant le ventre de sa pauvre victime qui s'effondre pour une mort lente et douloureuse.

Maintenant, les quatre cadavres gisait à ses pieds, pas encore tout à fait mort, mais encore tout à fait en vie non plus.

Je détestes cette partie... se permet-elle de commenter.

Puis Arès se met au travail, elle retire tout ce donc elle n'avait pas besoin sur les hommes, vêtements, chair, muscles et organes. Elle ne conservait que les os qu'elle dispose dans un cercle parfait. Puis, elle pose les quatre crânes sur des rocher en forme de pic qu'elle avait disposer devant elle. Là voilà qui se met à genoux au milieu de son macabre projet, à genoux et couverte de sang, et elle lève la tête vers le Ciel.

Anowen, Déesse du meurtre! Je t'offre ces quatre crânes que votre humble servante à préparer elle-même! Maintenant, moi, Arès Mercurio, te sommes de venir réclamer ton dû!

Maintenant, il ne restait plus qu'à attendre. Arès reste à genoux au centre du cercle, espérant que Anowen daigne se déplacer pour son offrande, espérant que son nom l'ai aidé dans sa cause.

La journée n'avait pas été ennuyeuse au château blanc pour Anowen qui entretenait avec la plus grande dévotion son magnifique trône de crâne grâce a une nouvelle pièce d'un de ses fidèles, un crâne de dragon particulièrement bien entretenu qu'elle appréciait beaucoup et dont elle recherchait le meilleur moyen pour qu'il soit en valeur. Les temps étaient encore a la paix, plus pour très longtemps certes, mais encore dans la paix. Les grands soldats quémandait toutefois ses services en lui offrant des crânes, et selon les récompenses choisies, Anowen les aidaient de la manière dont il lui plaisait. Jamais elle n'avait rechercher a troublée l'équilibre entre le bien et le mal, préférant largement soutenir les deux camps, c'était de cette manière qu'elle parvenait a avoir plus de crânes. Serviteurs et esclaves étaient des mots bannis de son vocabulaire. Anowen avait des disciples, ses beaux Berserkers et ses grand héros qui combattaient pour elle et portait fièrement sa rune sanglante rouge en symbole, tuant pour lui offrir toujours plus de crâne beau et puissant. Alors qu'elle admirait encore le crâne du dragon, elle ressenti une décharge dans tous son corps, son sang ne fit qu'un tour, quelqu'un lui faisait une offrande et elle entendit l'appel raisonné dans son esprit. La formulation était un peu maladroite, mais en entendant le nom de la personne, elle comprit tout de suite pourtant...Le jour de son jugement, Anowen n'était pas présente, occupée dans son complot personnel a former un champion pour trahir un autre, et n'avait put défendre la belle a la chevelure de flamme, l'un de ses meilleurs soutiens. La savoir éveillée était un plaisir suffisant pour convaincre la belle déesse de se déplacer, de toute manière, la simple présence des crânes auraient suffit. Arès put donc avoir la satisfaction de voir une faille s'ouvrir devant elle pour faire apparaître Anowen, toujours vêtue de sa combinaison de cuir noir décolletée, avec de grande semelle afin d'être encore un peu plus grande qu'elle ne l'était déjà ainsi que ses lunettes, un sourire sincères sur le visage.

« Alors ils ont vraiment osés...Les chiens, c'est un plaisir de te revoir parmi nous chérie, même dans ce triste état. »

Les pouvoirs d'Arès avait faiblit. La pauvre avait maintenant une enveloppe charnelle de mortelle. Anowen ne connaissait pas vraiment le nouveau dieu de la guerre, sans le soutien d'Arès, elle s'était contentée de continuer a menée ses petites affaires dans son coin. D'autant plus qu'Arès avait été chassée du panthéon divin a une période de paix et Anowen n'avait jamais grand chose a faire pendant ce temps la, la paix, mais quel ennui...Elle se baissa pour récupérer un crâne et le caressa tendrement, un sourire aux lèvres. Hormis peut-être un rapport sexuel intense, rien n'était capable de lui faire plus plaisir que des crânes a ajouter a sa collection pour son trône géant. Mégalomanie assumée, elle aimait connaître le nombre de mort dont elle était responsable par l'intermédiaire de ses fidèles, c'est bien cela la fierté d'une déesse du meurtre. Pour l'invoquer, Arès avait du découper les corps afin d'en obtenir le crâne et était maintenant couverte de sang, ce qui, il fallait bien le dire, avait un don pour raviver la flamme d'Anowen sur certain ébat passée. Elle ne fut jamais sa maitresse officielle, Anowen n'avait aucune place dans son cœur pour l'amour, mais elle avait souvent reçu la déesse de la guerre et plusieurs fois partagée sa couche, souvent après des ruptures...C'était a cause de cela qu'elle avait fini par l'appeler « ma chérie » même si cela était plus amical qu'amoureux bien sur.

« Ce sont de jolie crâne, je voit que tu n'a guère perdue la main malgré le sommeil. Tu mérite donc récompense. Que puis-je faire pour toi ? »

Gardant le crâne dans une main, et posant l'autre sur sa hanche, elle attendit de savoir ce qu'Arès désirait, se doutant bien qu'il ne s'agissait pas d'une simple invitation a boire un thé, elle attendait quelque chose de particulier de la déesse du meurtre. Son retour dans une atmosphère aussi électrique ne pouvait signifier qu'une seule chose : la guerre allait finir par reprendre un moment ou un autre, une perspective des plus agréables pour les deux divinités ici présente...

Arès avait toujours été subjugués par sa contrepartie malsaine. Elle n'aimait pas le meurtre, mais avait appris à apprécier la Déesse malgré ses... excentricités évidente. Elle reste au milieu du cercle, bien tranquille, pendant que Anowen examinait ces précieux crâne. Sur le coup, Arès se sent un peu jalouse, elle avait souvent songé à partager son immortalité avec la déesse du Meurtre, mais l'obsession de cette dernière rendait la tâche presque insurmontable.

Elle hausse doucement les épaules. Oui, elle a osée. dit-elle sur un ton amère.

Puis, elle se relève finalement pour être... plus que petite que Anowen. Même si la Déesse du Meurtre pouvait la balayer comme un fétu de paille si elle le souhaitait, L'ancienne déesse de la guerre avait tout de même une image de fierté à garder. Elle pose son index et descend le foulard pour que Anowen puisse voir sa bouche et son menton, seul endroit qui n'est pas maculé du sang de ses pauvres victimes.

Quel déesse de la Guerre je ferais si je ne savais pas me défendre ? Je suis certaines que même malgré ma faiblesse je suis encore capable de te terrasser, Chérie. Répond-elle sur un ton de défi.

C'était un bluff, évidemment, tout ça pour ne pas qu'elle perd sa crédibilité devant l'objet de son désir. Une sorte d'obsession pour Arès, si on peut dire. Tout de même, elle revient au sujet principal.

Tu as raison, je désire des informations. Disons que la femme-bête qui m'a tiré du sommeil Abyssal s'est avéré bien plaisante au toucher, mais inutile pour les informations. Elle soupire doucement. Je me souviens d'un temps ou nos fidèles était exactement aux courants de nos affaires.

Elle avait d'autre souvenir qui lui revenait en mémoire, mais c'était plus personnel et inutile à leur petite rencontre. Enfin pour le moment.

Tu es la seule Déesse que je peux contacter pour le moment, est-ce que tu acceptes de passer un peu de ton précieux temps avec moi? Demande-t-elle d'ambler.

Par fierté, l'ancienne déesse de la guerre se releva, mais celle du meurtre restait la plus grande. Autant dire qu'Anowen était fière de sa taille, les talons hauts, c'était simplement pour dépasser ou égaler les divinités masculines les plus grandes. Elle retira son foulard pour lui montrer ses lèvres et son menton, seule partie a avoir échapper a la bénédiction du sang de ses victimes, avant de confirmer les pires craintes de la déesse du meurtre. Comment pouvait-on condamné une déesse juste parce que sa manière d'agir ne plaisait pas ? Cette déesse suprême ne manquait décidément pas de toupet...Remarquer qu'Anowen avait toujours considérée cette dernière comme une nuisible, un élément perturbateur qu'elle devait inclure dans ses plans, mais avait toujours vu celle ci comme une petite idiote sans cervelle incapable d'être réellement cruelle lorsque c'était nécessaire, qu'il s'agisse de la mère ou de la fille d'ailleurs. Finalement, elle devrait réfléchir au fait qu'elle s'était probablement trompée et revoir ses plans...Enfin, en aidant des personnes situées des deux cotés de la barrière, ne cherchant ainsi guère a briser l'équilibre entre le bien et le mal, la déesse du meurtre avait toujours su éviter d'être de trop dans l'œil du cyclone et savait quoi faire pour se faire oublier. Ramassant les autres crânes, qu'elle vint placer au dessus du premier, elle écouta les paroles de l'ancienne déesse de la guerre en poursuivant son office mortuaire. Elle affirma qu'elle était toujours capable de la vaincre malgré sa faiblesse, ce qui n'eut pour effet que d'afficher un sourire amusée sur les lèvres d'Anowen, qui laissa une faille s'ouvrir vers son trône le temps de transmettre les crânes a l'une de ses servantes qui les entreposeraient a l'endroit habituel, mais n'avait pas regarder dans cette direction, son regard restant sur la déesse de la guerre.

« Les temps changent, les dieux aussi, mais rassure toi les mortels eux savent toujours écouter ce qu'on leur dit si l'on s'y prend bien. Malheureusement, je doit dire que nous ne somme plus très nombreux parmi les divinités de naissance primaire, même la déesse suprême elle même a laissé la main a sa fille, les valeurs se perdent, l'esprit fantassin n'existe plus... »

Anowen prit le temps de s'asseoir sur un rocher en croisant les jambes de manière sensuelle et tira un porte cigarette qu'elle amena a ses lèvres avant d'allumer cette dernière, probablement afin de se donner un genre plus que pour un réel besoin de fumer. Une manière d'essayer de capter l'attention d'Arès, un petit jeu entre elles qui duraient depuis des siècles maintenant. Apparemment, son réveil avait du être de très bonne facture, mais aucune réelle informations n'avaient filtré de celui ci, car la femme bête ne savait rien du monde l'entourant ou n'avait pas voulu parler. Les mortels faisaient plus de zèle a défendre leurs dieux ses temps ci, ce qui n'était pas une bonne chose pour ceux qui voulaient écraser leurs voisins, mais c'était une valeur que la déesse du meurtre appréciée, malgré qu'elle soit elle même traitresse avec ses champions. Que voulez vous, l'on demande toujours aux autres ce que l'on n'a guère soit même. Arès lui demanda si elle avait du temps a lui consacrée, laissant échapper un petit cercle de fumée de ses lèvres, l'autre répondit avec un sourire

« Bien sur ma belle ! Les temps sont ennuyeux, puisque c'est la paix ! Alors que souhaite tu savoir ? »

Elle attendit de savoir exactement quoi dire, même si lui donner d'autre informations serait probablement utile. Arès rechercherait a retrouver sa place dans le panthéon et Anowen lui donnerait un coup de main car elle avait toujours été une grande camarade de combat et leurs domaines étaient relativement proche, même si la brune n'hésitait pas a encourager les meurtres gratuits pour sa collection de crâne...

Déjà une information intéressante avait glissé de la bouche d'Anowen. La Déesse suprême n'était plus la même que quand elle avait été bannie.

Elle soupire doucement et s'approche de Anowen pendant qu'elle remet les crânes à une servante de l'autre côté. L'attention de Arès était entièrement portée sur Anowen, elle ne peut s'empêcher de remarquer son petit bricolage derrière. Impressionnée, elle se souvient que le trône était nettement plus petit quand elle était déesse. Preuve que notre déesse du Meurtre avait beaucoup de temps à consacrer à ces projets personnels, est-ce que l'absence de Arès avait quelque chose à y voir? Une excellente question à se poser.

Je vois. Les autres sont tous entré en sommeil ?

Depuis le temps, c'était normal que les dieux dormaient de longue période, laissant le soin à ses fidèles d'entretenir le culte. Les seuls dieux actifs qui lui revenait en mémoire était Sorgoth, le dieux des plaisirs de la chair. Le seul dieu avec qui elle n'avait pratiquement pas de contact puisque c'était un solitaire et après un accident impliquant des tentacules mal placés, Arès ne lui avait jamais reparlé. Ensuite il y avait Anowen qui était toujours dans le sillage de Arès quand les luttes commençait à devenir sanglante. Finalement, le dernier dieu qu'elle se souvient est celui de la destruction, Datar K'Tarsis. Le dieu silencieux qui n'avait comme seul ami que son épée.

Voilà que Anowen s'installe plus confortablement et s'allume la chose qu'elle fumait si souvent. Un sourire apparaît sur son visage, simplement heureux de se trouver avec quelqu'un qui était comme elle... enfin à certain point. La déesse du meurtre voulait au jeu du désir? Arès savait qu'elle partait perdante face à une divinité, mais elle est quand même heureuse de participer. Après un moment d'admiration, elle marche tranquillement et passe juste à côté de la déesse en se déhanchant quelques peu. Sa démarche lente donne tout le temps à la déesse du meurtre de sentir l'odeur du sang qui se mélange au parfum intéressant de sa féminité. Une fois à une dizaine de pas de Anowen, preuve qu'elle n'avait pas peur d'exposer son dos à la déesse, elle caresse doucement son fessier de couleur écarlate pour réajuster sa petite culotte. Elle prenait son temps, faisant exprès d'être malhabile. Tout en s'exécutant, elle prend la parole.

La paix... je vois. J'ai eu des rumeurs que tu pourrais peut-être me confirmer, est-ce que c'est Datar K'Tarsis qui à hériter de mon poste?

Posant une question à la fois, elle pourra ralonger leur entretiens et elle regarde par-dessus son épaule pour voir si sa tactique porte fruit.

Il était vrai que le trône des crânes avait prit un volume considérable depuis le bannissement d'Arès. Il faut dire qu'Anowen avait connu une faste période de meurtre en son nom a cette date et qu'elle avait put alors obtenir plein de nouvelles offrandes pour le trône, tandis que les crânes les plus beaux et les plus important avait eux étaient ajouté en guise d'ornement sur le trône lui même plutôt que d'être laissé parmi les crânes qui permettait a ce dernier d'avoir de la hauteur. D'une certaine manière, si le nombre de fidèle venait a décroitre, Anowen n'avait qu'à poussé ceux restant a perpétrer plus de meurtre, elle tenait sa véritable puissance de tous ses crânes empilés et non des prières qu'on lui adressait et auquel elle répondait très souvent. Elle demanda si les autres divinités étaient entrée dans le sommeil. C'était en partie vrai, mais pas seulement...

« Pour certaine oui, mais d'autre ont été détruite par des mortels qui ont accédé aux statuts de divin de leurs symbolique, une sale affaire, personne n'a toutefois eu la folie de me défier, ce qui est bien mieux pour la santé de celui qui pourrait avoir cette idée... »

La modestie ne faisait définitivement pas partie de son vocabulaire. Tirant une nouvelle bouffée de sa cigarette, la belle gardait entre deux doigts ce bien étrange objet, se penchant quelque peu en arrière afin de faire mieux profiter de ses charmes a sa vis a vis. Sa longue chevelure noire étaient encore parfaitement tresser, mais Arès avait toujours eue tendance a la décoiffé pendant leurs ébats. La progression du trône était liée a beaucoup de facteur, en réalité, rien n'avait plus d'importance que lui dans les désirs d'Anowen car il était la preuve indiscutable de sa puissance, mais il n'était que la face émergée du vaste complot qui allait lui permettre de se montrer comme la seule véritable déesse suprême. Elle n'avait pas besoin de forcer les mortels a ne vénéré que elle, non elle n'était pas du genre capricieuse, si l'un de ses fidèles voulait prier le dieu des plaisirs pour se faire du bien, alors qu'il le fasse, elle n'en prendrait jamais ombrage. D'ailleurs, une fois encore, Arès se laissa prendre au jeu de séduction de la déesse en se montrant volontairement provocante, se montrant de dos pour remonter sa petite culotte, alors que son parfum naturel se mélangeait a celui du sang. C'était déloyal, car elle savait très bien qu'Anowen ne savait pas résister a l'odeur du sang et adorait lécher le liquide vital des mortels, un peu comme les vampires, mais elle demanda en même temps si c'était bien Datar K'Tarsis qui l'avait remplacée. Affichant un sourire bourrée de sous entendu, preuve que les charmes de l'ancienne déesse ne la laissait pas indifférente, Anowen repris.

« C'est exact. Bien qu'il est si froid d'apparence que cela ressemble d'avantage a un intérim si tu veut mon avis, mais je doit reconnaître que je ne suis guère objective sur ce point...Enfin ses fidèles me demandent souvent un coup de pouce, quel plaisir que de les pousser a s'entretuer pour récupérer leurs crânes... »

Aussi curieux que cela puisse paraitre, ce genre de pensée étaient réellement capable d'éveiller des idées dans l'esprit de la déesse, d'autant plus que le corps d'Arès ainsi recouvert de sang était très tentant, mais foncer sur elle comme une morte de faim n'aurait pas été convenable, elle était déesse et se devait de tenir son rang correctement. A la place, elle ouvrit quelque peu sa combinaison de cuir pour lui laisser voir un peu plus de sa voluptueuse poitrine tout en continuant de faire des ronds dans le ciel avec sa cigarette. Elle attendait de savoir ce qu'Arès voulait savoir d'autre, tout en jouant avec ses nerfs, la déesse avait toujours eue du mal a résister a ses petits tours, certes pas bien méchant, elle n'était pas la déesse du désir, mais qui restait appréciable.

Elle se retourne pour faire face à Anowen maintenant et elle ferme les yeux, adressant ses adieux aux autres dieux qui avait connu une fin plus tragique que la sienne. Puis elle reprend son sérieux juste à temps pour voir Anowen défaire un peu plus son costume.

C'est à ce moment précis que Arès regrette d'avoir joué le jeu et de s'être lancé dans cette séduction. Un combat perdu d'avance comme on dit. Une chance que Arès n'était pas la déesse de la victoire, sinon elle aurait subi le même sort que les autres dieux depuis longtemps. Elle détourne le regard pour ne pas voir plus de peau que nécessaire, mais le son du cuir et son imagination fertile éveille de très bon souvenirs dans le château blanc.

C'est justement en essayant de se changer les idées qu'elle dirige la conversation sur le sujet principal.

Alors je devrais récupérer ma place sans trop de problèmes, mais qu'advient-ils de mes Chevaliers? Est-ce qu'ils sont sous le contrôle de Datar ou toujours en train de dormir?

Le ton de ses questions avait une intonation maternel, comme Anowen aimait son trône de crâne, Arès avait créé ses Chevaliers comme ces enfants, vu qu'elle n'était pas capable de se reproduire de manière conventionnelle, vu son dédain pour les hommes. Elle fait un pas en direction de Anowen, visiblement inquiète sur leurs sorts, mais se ravise au dernier moment, sachant qu'elle n'aurait aucune compassion de la déesse du Meurtre. Elle passe donc à sa prochaine question.

Dis-moi Anowen, combien de temps ai-je dormis?

Tout en posant sa question, une vague de fierté s'empare d'elle. Si elle devait perdre leur ''combat'' elle ne tomberait pas sans se battre. Arès retire donc le foulard de devant son visage pour le faire tomber sur le sol et avec un petit sourire, en attendant la réponse, elle lèche doucement le sang sur un de ses doigts, de façon sensuelle, comme Anowen le fait avec sa cigarette.

Arès eue une pensée pour les dieux qui avaient périt de la main des mortels, une idée qu'Anowen n'aurait jamais eue. Ils avaient perdu parce qu'ils étaient faible et d'une certaine façon, ils avaient bien mériter la mort, mais en même temps, pour une ancienne comme elle, il est vrai que le château blanc perdait de son charme, les nouvelles divinités étaient parfois bien moins habile que les anciennes et Anowen regrettait quelques personnes qui lui avaient donner du fil a retordre ou des plaisirs indescriptibles. Contrairement a l'ancienne déesse de la guerre, elle n'avait rien contre les hommes mais appréciait les plaisirs des deux sexes, peut-être sa manière purement charnelle d'envisager ce genre de relation, puisque la déesse du meurtre ne s'était jamais demandée si elle pourrait un jour être amoureuse de quelqu'un, quel idée saugrenue ! La simple ouverture de son corsage avait suffit a éveiller assez d'idée dans l'esprit d'Arès pour qu'elle décide de tourner la tête afin de ne pas se perdre dans les filets de la déité du meurtre. Mais les deux femmes partageaient tant de souvenirs en commun qu'ils leurs seraient très difficile de résister, cette nostalgie les amèneraient probablement a finir par se jetée l'une sur l'autre pour une étreinte passionnée...Restait a savoir laquelle craquerait la première. Pour résister plus longtemps, Arès dévia le sujet de la conversation pour un sujet qui lui tenait particulièrement a cœur : son corps de chevalerie. Il représenter en quelque sorte ses enfants et elle voudrait probablement les récupérer. Elle voulu se rapprocher d'Anowen mais renonça a mi-chemin, sachant que la compassion n'était pas réellement dans le vocabulaire de la brune, même si celle ci était également assez protectrice avec ses enfants, au point de coucher avec eux...

« Ils ne l'ont guère suivit, leurs fidélité envers ta personne fut exemplaire. Je t'avoue que j'en est conduit certain vers la voie du meurtre, mais j'ai toujours veillez a ce qu'ils perpétuent leurs traditions. Leurs descendants te vénèrent encore, je pense qu'ils doivent croiser le fer en tant que mercenaire sur ce monde en attendant ton retour. »

Alors qu'elle reportait une nouvelle fois sa main droite au niveau de ses lèvres pour y amener sa cigarette, elle observa Arès lécher l'un de ses doigts pour y récupérer le goût du sang afin de miser sur son avantage. Elle ne voulait pas perdre dans combattre et par cela, Anowen reconnaissait parfaitement son ardeur combattive qu'elle appréciait tant ! Elle avait demandée combien de temps elle avait dormi, mais la la brune devait admettre qu'elle calait. Elle n'avait pas compter les siècles et les millénaires, probablement trop occuper a entretenir son trône de crâne et veillez a trouver de nouvelle façon de tuer. Toutefois, afin de ne pas rester en arrière dans le jeu de séduction, elle attrapa de sa main gauche la lanière rouge qui tenait sa chevelure dans une forme toutes guerrière et affichait un large sourire en sachant qu'Arès apprécierait la vue de sa très longue chevelure libérée de toutes contraintes.

« Je doit admettre que je n'en est pas vraiment idée, plusieurs siècles, peut-être un millénaire...J'ai été très occupée, trop pour me soucier de la notion du temps, mais tu sait déjà que je n'accorde que peu d'importance aux dates. »

Il est vrai que pour cela, elle pouvait être qualifié de tête en l'air, et pourtant, lorsqu'elle planifier un complot, elle n'oubliait jamais la date a laquelle il devait être exécuté...Toutefois, le temps sans Arès lui avait parut trop long, elle s'en rendait bien compte...Elle décroisa les jambes pour les croiser dans l'autre sens tandis qu'un nouveau rond s'échappait de ses lèvres, elle le souffla quelque peu pour lui donner une forme plus imprécise, comme un arc et une flèche, mais en grossier, juste pour le plaisir...

Arès soupire doucement, savoir que ces bébés étaient encore à elle lui retire un poids imposant de sur ses épaules. Elle laisse tomber sa main le long de son corps et regarde Anowen avec un sourire.

Là-dessus, tu ne me surprends pas ma belle. Tu ne retiens que ce qui t'est important.

Pus elle s'approche de la Déesse du meurtre, ignorant totalement le spectacle désolant qui se trouvait autour d'elle. Arès regardait les cheveux de Anowen. Elle n'arrivait pas à comprendre, mais la tignasse de sa consœur avait un effet hypnotisant sur elle. C'était probablement parce que la chevelure de Arès ne pouvait aucunement être coiffée, elle était née avec ces couettes meurtrières et elle mourrait avec, qu'elle le veuille ou non. Elle soupire doucement et lève les mains à la hauteur de son visage.

Tu gagnes toujours par les cheveux, Anowen.

Elle le dit sur un ton coupable, mais Arès savait accepter la défaite, elle penche doucement la tête.

Je n'ai plus de question à te poser. Je crois que je peux trouver les réponses toute seule maintenant que mes plus grandes inquiétudes sont libérer. Par contre...

Elle prend une pose pour repousser ces couettes vers l'arrière et ainsi dévoiler sa poitrine qui même avec l'armure ne rivalisait pas avec ceux de la déesse du meurtre.

Quel est ton prix pour les informations?

La déesse du meurtre observa le soupire rassurée de sa consœur avec bienveillance, l'un des rares moments ou elle en était capable. En effet, avoir put la rassurer sur ce point lui permettait de retirer ce poids de la conversation, celle ci savait bien quel importance Arès donnait a ses enfants. Le sourire prouvait qu'elle connaissait bien la déesse du meurtre qui en effet retenait avant tous les choses les plus importantes et non les dates qu'elle considéraient d'avantage comme futile. Si les leçons de l'histoire devait être retenue, du moment qu'on avait l'ordre des évènements bien en tête a quoi bon dater ? De toutes manières, beaucoup de mortel avaient des façons différente de dater, alors inutile pour une déesse de se pencher sur ce point, la c'était le travail de la déesse suprême et pas de celle du meurtre. Elle renvoya sa main le long du corps et s'approcha d'Anowen avec un air vaincu, mais digne. En même temps, la déesse n'avait pas été sportive en exploitant cet argument. Mais le sang, c'était également quelque chose de difficile pour elle, y résister n'était pas facile, et savoir qu'elle n'aurait plus a se retenir était quelque chose de très agréable. La déesse l'observa approcher en détaillant ses courbes, se souvenant d'innombrable nuit, dont une période ou la cadence fut infernale...Probablement que l'attirance de l'une envers l'autre fut trop forte, et la seconde n'avait de toutes manière aucun moyen d'y résister. Anowen n'était pas stupide, elle savait qu'Arès aurait parfois appréciée qu'elle accepte de vivre en couple avec elle, mais la brune était incapable de cela, et puis elle ne voulait pas briser le cœur de sa petite chérie.

« Je doit admettre que l'idée du sang fut intéressante et je n'est pas trouvé meilleure solution pour le contrer... »

L'ancienne déesse de la guerre se pencha vers sa complice en affirmant qu'elle n'avait plus de question. Ses plus grandes inquiétudes libérée, elle pourrait trouver elle même les réponses aux choses plus triviales. Mais en plaçant ses couettes vers l'arrière pour montrer son décolletée a Anowen et essayait de réveiller son envie, elle lui demanda le prix qu'elle voulait pour ses informations en sachant très bien ce qu'allait lui demander la déesse. Cette dernière se montra toutefois lascive, éteignant sa cigarette avant de la ranger dans sa combinaison, maintenant, elle n'en avait plus guère besoin. Puis elle porta sa main droite sur la joue de l'ancienne déesse de la guerre, la caressant tendrement avant de planter son regard dans le sien.

« Prix ? Qui parle de prix ? Chérie, tu me connait mieux que cela, ce n'est pas un prix que n'attend. Juste un bon moment entre nous, en souvenir du bon vieux temps, quelque chose qui nous fera autant de bien a l'une que l'autre. Tes jolies crânes ont bien mérité les informations que je t'est fournit, mais ton corps m'a manquée... »

Passant sa main sur sa nuque, elle força la rousse a venir rejoindre ses lèvres pour un baiser passionné, liant sa langue a la sienne. Une sensation agréable qu'elle avait oubliée depuis tout ce temps et qui lui fit du bien. La dernière fois qu'elles avaient fait l'amour remontait maintenant a si longtemps qu'elle avait du mal a se souvenir des conditions, mais le plaisir qu'elle y avait prit était a chaque fois assez conséquent pour qu'elle s'en souvienne ! Elle se leva pendant le baiser, amenant également Arès a se relever, collant son corps contre le sien. Elle allait tacher sa combinaison de sang, mais elle en avait de rechange, alors cela n'avait aucune espèce d'importance a ses yeux. Ses mains retrouvèrent le corps de celle ci avec délices, s'attardant plus particulièrement sur les fesses, parce qu'elle n'avait qu'une petite culotte et qu'elle savait qu'une caresse sur la peau nue était plus stimulante que sur un vêtement...

Arès se laissait emporter par les souvenirs. Le château Blanc, bien que vide, lui manque vraiment. Tous les bons moments qu'elle avait passés là-bas. C'était simplement merveilleux. Anowen se lève et touche sa joue et la déesse déchu soupire d'aise. Le simple fait de savoir qu'il y avait une autre Déesse qui l'attendait au château faisait en sorte que sa quête devenait moins futile.

Toi aussi, ton corps m'a manqué Anowen, mais j'ai dormi pendant tant de temps que j'ai de la difficulté à faire la différence entre rêve et souvenir. Il va falloir que tu me rafraîchisses la mémoire, ma belle.

Elle profite longuement de la main qui glisse sur sa peau, laissant la main glissée jusqu'à son cou et ne résiste pas quand la Déesse du Meurtre l'attire contre elle. Loin d'être passive, la langue de cette dernière se mélangeait très bien avec celle de Anowen. Durant le baiser, Arès faisait le tri de ces souvenirs, mais son cerveau de mortel peinait à se souvenir de toute son existence. Par contre, un souvenir n'est jamais aussi bon que la réalité et ce moment de tendresse le prouvait facilement. Comme dans une danse, les mouvements d'Arès étaient parfaitement calculé avec ceux de sa compagne pour éviter que leurs lèvres ne se séparent durant que cette dernière prenait une position debout. Le métal se frottait contre le cuir de sa combinaison et le sang des pauvres hommes qui sont morts pour donner vie à ce moment se transférait sur le cuir de sa combinaison, lui donnant un aspect reluisant. Elle soupire doucement quand elle sent les mains de Anowen sur son postérieur et se laisse tomber sur ces pieds, mettant fin au baiser. Elle pose ses mains sur les hanches d'Anowen et caresse doucement le cuir, la badigeonnant un peu plus de sang. Les caresses de la Déesse étaient si précise que Arès ne pouvait faire autrement que d'apprécier les petites attentions qu'elle laisse échapper une légère plainte de bonheur.

Anowen, j'aimerais que tu me nétoie de toute je me sentirais beaucoup mieux après.

Un petit jeu simple pour commencer, elle penche doucement la tête sur le côté, souriante. Ses mains quitte ensuite le corps d'Anowen et Arès fait quelques pas en arrière pour laisser la déesse du meurtre observer son corps, du moins les parties qui étaient découvertes. Puis, les doigts de Arès jouent avec les attaches de son armure, pour amuser un peu Anowen.

Du mal a faire la différence entre rêve et souvenir, cela voulait dire que la déesse de la guerre avait rêvée d'elle durant son sommeil forcée, cela restait quelque chose d'agréable, elle n'avait pas été oubliée non plus pendant tout ce temps. Arès fit tout pour lui faciliter la tâche, caressant son corps a travers la combinaison de cuir, faisant luire celui ci a cause du sang, mais cela n'avait aucune importance, si Arès trouvait que cela la rendait plus belle, alors Anowen apprécierait forcément. Elle était toutefois obligée de se mettre sur la pointe des pieds une fois la brune debout pour maintenir le baiser et Anowen s'abaissa quelque peu pour lui facilité la tâche alors que la rousse participait activement a celui ci, les deux langues entrainées dans un long ballet sensuelle. Celui ci prit fin toutefois, puisque l'ancienne déesse de la guerre remis ses pieds sur terre afin de retrouver son équilibre. Elle avait probablement d'autre idée en tête et savait généralement se montrer très imaginative pour ce genre de chose. Il faut dire qu'elle n'aimait que les femmes, contrairement a Anowen qui aimait également faire l'amour avec des hommes, ce qui changeait pas mal de chose. Elle lui demanda de la nettoyer, sachant que la déesse du meurtre prendrait plaisir a lécher tout ce sang tout en prenant un peu de recul et en jouant avec les attaches de son armure. Pour la nettoyer, elle allait devoir la débarrasser de cette armure afin qu'elle ne la dérange pas, l'armure ne serait pas agréable a lécher, alors que la peau de la rouquine...La brune lui adressa un sourire qui prouvait que cette idée lui plaisait beaucoup et vint de nouveau se rapprocher du corps de l'ancienne déesse de la guerre.

Tirant sur les attaches de l'armure, elle la retira doucement afin d'éviter de la blesser pendant la manœuvre et tira sur sa petite culotte pour la faire tomber au sol sans plus tarder, maintenant la déesse n'en aurait guère besoin. Sentant le feu du désir couvait doucement en elle, elle prit néanmoins le temps d'admirer le corps de son amie en reculant de quelque pas, prenant un air de réflexion mutin qui semblait indiquer qu'elle se demander comment elle allait attaquer sa tâche. Puis affichant un sourire une fois qu'elle semblait s'être décidée, elle se lança dans l'exploration de ce corps qui lui avait tant manquée, allant tendrement lui donner des baisers dans le cou, elle entama ensuite doucement l'entreprise de nettoyage, léchant le sang sur son corps. Le faire sur le cou avait réellement quelque chose de stimulant, car ainsi la déesse du meurtre avait presque l'air d'une vampire. Toutefois, elle ne mordait guère Arès et ses douces caresses se perdaient sur le corps de l'ancienne déesse, s'attardent sur les hanches et les seins, qu'elle malaxa fermement et pinça quelque peu au niveau des extrémités.

« Exquis...J'ai toujours appréciée le mélange du goût de ta peau avec celui de tes victimes ma chérie... »

Elle descendit son visage, s'attardant sur les seins, les léchant avec délicatesse puis prenant les tétons en bouche afin de les aspirer quelques peu et même de les mordiller, alors que ses mains descendait maintenant vers l'intérieur de ses cuisses, frôlant son intimité avec délice et envie. Elle restait attentive aux soupir d'aise de l'ancienne déesse alors qu'elle s'occupait de sa poitrine, levant son regard de temps en temps pour s'assurer que tout lui plaise, qu'elle n'avait pas perdue la main. Tranquillement, sa langue continua son office de nettoyage, léchant le sang sur son ventre plat et dans le nombril, elle n'en oubliait aucune goutte alors qu'elle remonta de nouveau ses caresses sur ses fesses pour venir descendre ses lèvres vers son intimité. Mais plutôt que d'y entrée directement la langue, elle décida d'en lécher doucement les parois en se servant du bout de la langue, afin d'attiser ses désirs et de faire monter la température de son corps lentement, elle voulait faire durer le plaisir...

Arès l'aide à se débarrasser de l'amure gênante. Le fait qu'elle soit toutes les deux sur un champ de mort et de désolation ne l'inquiétait pas le moins du monde. Une chose est certaine, s'il y avait des fantômes dans le coin, ils seraient inévitablement attirés par leur ébats... et cette pensait rendait leur rencontre beaucoup plus intéressante.

Après un court moment l'armure s'écrase sur le sol boueux et Arès se tortille doucement pour venir en aide à Déesse dans son projet de la mettre à nue. Une fois toute nue, une certaine gène s'empare d'elle et ses couettes se mettent à bouger toute seule, se plaçant devant sa poitrine et retombant en croix devant son sexe pour le camoufler, les joues teinter de rose en dessous du sang, elle détourne le regard comme une mignonne petite fille et laisse Anowen réfléchir. Entre-temps elle reprend un peu sur sa gêne et retire tranquillement ses cheveux, c'est à ce moment que notre prédatrice, Anowen, s'élance sur sa proie.

Rapide comme l'éclair Anowen commence à lui lécher avidement le cou, pour ce repaître du sang des victimes de l'ancienne déesse de la guerre. Elle soupire doucement s'efforçant de garder son calme alors que tout son corps se mettait à trembler sous les caresses de la douce, enfin pour le moment, Anowen. Elle soupire doucement en sentant les caresse le long de ses henches qui glissait jusqu'à sa poitrine. Au pincement, elle laisse échapper un soupir de plaisir. C'était nettement mieux que tout ce qu'elle aurait pu imaginer ou rêver.

Et moi j'ai toujours détester tes costumes de cuir, Anowen.

Elle caressait ses cheveux tranquillement et quand elle descend pour s'occuper de sa poitrine, Arès s'installe sur un rocher placé juste au bon endroit, où elle n'avait pas trop à bouger et, par la même occasion, gâcher le plaisir. Une fois installées, elle la laisse mordiller à souhait, poussant de jolis cris d'amour.

T... tu sais, je n'ai pas perdu tout mes pouvoirs...

Dit-elle entre deux soupirs. Quand elle a un peu plus contrôle sur ces pulsions, donc quand Anowen relâche finalement son attention sur ces seins, ses cheveux prennent subitement vie. Avec une précision chirurgicale, elle fait danser ses couettes autour de la Déese du Meurtre, découpant son costume petit bout par petit bout. Arès continuait de lui caresser les cheveux sans penser aux conséquences, Anowen allait encore, une fois, finir décoiffée. Elle pousse un petit rire quand la Déesse trace le contour de son nombril avec sa langue et frisonne quand sa langue croise son mont de Vénus.

Ma belle... tu vas tellement vite...

Par contre, elle ne montre aucun signe de résistance. Au contraire, elle écarte plus les jambes pour donner plus facilement accès à son intimité déjà trempé. C'est là que Anowen va donc trempé sa langue, le goût divin de son sexe ce mélange au sang pour donner une expérience de goût vraiment sublime, quelques chose que Anowen n'avait pas goûté depuis longtemps... probablement trop longtemps.

Arès soupirait de plaisir sous les coups de langues de sa compagne, une main dans les cheveux de sa douce, l'autre parcourait son corps à la recherche de tendre caresses et de plaisir qu'elle se donnait en même temps que la Déesse du Meurtre se laissait aller.

Il ne faisait aucun doute que la déesse du meurtre disposait des talents nécessaires du parfait prédateur et ceux dans tous les domaines. La gène d'Arès en sentant son corps nue fut amusante, car Anowen n'en avait plus l'habitude. Les deux amies ne s'étaient pas retrouvée depuis tant d'année que la rouquine ne devait plus avoir l'habitude de cela, même si la personne qui l'avait tirée de son sommeil devait l'avoir réveiller d'une bien curieuse façon, enfin de la manière dont Anowen comptait passée un agréable moment en sa compagnie en réalité ! Elle affirma qu'elle avait toujours détestée ses costumes de cuir avant de lancer ses cheveux vers elle pour lui découper, la brune ne s'en formalisa guère, puisqu'elle en avait plein de rechange et elle aurait eue beaucoup de mal a ravoir les traces de sang. Elle aida même Arès dans sa tâche en arrachant des pans entier de sa combinaison afin de pouvoir s'en débarrasser et se retrouver a nue, seulement vêtue de ses chaussures a haut talons et ses lunettes dont elle ne s'était pas encore séparée. Si les lunettes, élément uniquement présent pour le style, finiraient bien par disparaître, les chaussures risquaient bien de rester jusqu'au bout, mais en tout cas, elle n'était pas fétichiste du pied et s'en moquait, après si Arès décidait de l'en débarrasser, elle ne dirait guère non, au point ou elle en était...Elle s'installa sur un rocher afin de profiter pleinement du plaisir, poussant des petits cris alors qu'Anowen avait embrasser ses seins en affirmant qu'elle n'avait pas perdue ses pouvoirs. Ses cheveux aussi tranchant que des lames étaient vraiment une particularité fascinante, et bien que de ce fait, elle ne pouvait les caresser pendant l'action, elle les trouvait magnifique. La déesse du meurtre se contenta de lancer un sourire assez pervers il fallait bien l'admettre a son amie, elle était maintenant totalement absorbée dans sa tâche et seul le désir et le plaisir d'Arès comptait dans cet instant.

Tien, elle avait essayer de prendre son temps, mais Arès affirma qu'elle allait vite...Apparemment, cela lui plaisait. A bien y réfléchir, Anowen avait du faire preuve d'empressement a se jeter sur le corps d'Arès, voilà si longtemps qu'elle ne l'avait pas vu. Lorsqu'elle apprit son bannissement et qu'elle parvint enfin a y croire, elle avait réellement piquer une colère noire, l'une des rares qu'il ne valait mieux pas provoquer. Arès représentait beaucoup de chose a cet instant pour la déesse du meurtre, l'une de ses seules véritable amie dans le château blanc et une manne impressionnante de crâne, ainsi que des heures de plaisirs charnelles que les deux jeunes femmes avaient ardemment partagée pendant des années. Sentir de nouveaux le corps d'Arès proche du sien, nue et offerte, était une expérience unique qu'elle ne pouvait rater pour rien au monde. Et le mélange du goût de son sexe avec celui du sang était un délice dont elle n'avait plus goutée depuis des années. C'était si bon...Consciencieusement, dans un sérieux qui n'existait habituellement que dans les meurtres pour elle, elle plongea sa langue a l'intérieur même de son sexe pour venir récolté un maximum de ce nectar, usant de ses deux mains pour caresser le corps de la rousse, tournant il est vrai surtout au niveau des fesses et des seins selon la position de la main d'Arès, caressant toutefois son corps de manière plus rapide au fur et a mesure que son propre désir augmentée. Elle se serait bien satisfaite elle même en venant toucher son propre antre de plaisir, mais elle préférait laisser cela a Arès qui aurait le plaisir de la stimuler entièrement ensuite.

Les soupirs d'aise d'Arès n'était qu'un encouragement de plus pour Anowen qui n'avait plus fait cela depuis une éternité...Enfin, elle descendit la main gauche vers l'antre d'Arès pour y introduire doucement un doigt, léchant ses lèvres pour récupérer quelques gouttes de la mouille qui avait atteint ses lèvres. Toutefois, elle n'abandonna pas de si tôt les baiser, venant embrasser de nouveau son bas ventre tendrement. Elle accéléra au fur et a mesure la vitesse de son doigt, mais sans trop en rajouter car elles n'étaient encore qu'aux début après tout. Faire l'amour avec une femme était très différent d'un homme, il fallait toujours être attentionnée et savoir exactement ce que l'autre attendait. Elle prit donc son temps, sentant la mouille d'Arès trempée sa main. Laissa sa main faire son office, elle remonta son visage vers celui de sa camarade, écrasant sa poitrine sur la sienne et murmura alors

« Chérie, je te promet que lorsque tu aura récupérée tous tes pouvoirs, nous ferons l'amour sur mon trône de crâne, et tu sera la première a recevoir cet insigne honneur... »

Et elle l'embrassa passionnément, mêlant sa langue a la sienne tout en introduisant un second doigt en elle...

Le monde basculait littéralement autour d'Arès, son regard se fixe sur sa compagne alors qu'elle continue de lui procurer bonheur et plaisir. Elle ne pouvait s'empêcher de penser que quelqu'un les regardaient quelque part, mais maintenant il était certain qu'une autre divinité était au courant de son réveil. Pour être franche, sur le moment c'était le dernier de ces soucis que le Dieu de plaisir prenne son pied s'il le veut bien. Arès n'était pas prête d'abandonner ce délicieux moment pour des caprices divin.

La main de Anowen glissait doucement vers son intimité toute chaude et moite, mais tout de même l'endroit le plus propre de sa personne tellement Anowen était attentive assidu à la tâche. Quand son doigt effleure les lèvres de l'intimité de l'ancienne Déesse, elle pousse un petit gémissement suivi d'une plainte vaine de protestation. Quand le doigt se fraie un chemin à travers la chair d'Arès, c'est comme si elle subissait une décharge électrique. Elle se met à trembler sauvagement alors que ses sens de Mortel étaient surchargés d'information. Ces soupir d'amour se transforme en plainte de joie. Déjà un orgasme pointait le bout de son nez.

Par contre, Anowen ne voulait lui apporter cette satisfaction. Elle ralenti le rythme qui était rester constant pour s'adapter à la petite nature de Arès et cette dernière viet s'installer sur Arès. Poitrine contre poitrine, une sensation douce. Enfin, elle ressentait la peau douce de son amie divine. Quand Anowen lui fait son offre, elle rougit doucement et pousse un cri, oubliant complètement qu'elle luttait contre un orgasme que seule une personne bien attentionnée pouvait lui procurer.

En guise de réponse, Arès pose ses lèvres sur sur celle de Anowen et l'embrasse avec passion. Elle allait forcer la Déesse du Meurtre à tenir parole s'il le fallait, quand elle reprendra son statut. C'est à ce moment que la Déesse pousse un peu plus loin l'extase en insérant un second doigt dans son antre de chair qui s'était rétrécit durant toutes ces années de sommeil.

La réponse est immédiate. Arès referme ses bras autour de Anowen et écarte un peu plus les jambes, pour donner un peu plus de jeu à sa compagne. Elle avait tellement chaud que même la pierre froide sur lequel elle reposait n'arrivait pas à lui donner même le plus infimes petit frisson. Ses ongle morde dans la peau de Anowen, juste assez fort pour qu'elle ressente quelque chose sans la blesser et elle continue de l'embrasser sans arrêt, pour étouffer ces cris d'amour et ne pas attirer l'attention d'indésirables intrus.

Elle écarte son visage un court moment pour lui dire.

Si.. si tu continue comme ça...

Une phrase qui se perd dans un soupir d'amour alors que les doigts de la Déesse font un travail de maître...

L'on ne pouvait pas dire que l'endroit représente l'archétype du lieu romantique et aphrodisiaque, car le trône des crânes était après tout une sorte d'immense montagne faite de crâne de toutes sortes d'espèce ou un trône d'airain était accroché au sommet, lui même ornée d'or et de tête de mort, et d'une couleur rouge sanguine. Pourtant, il s'agissait l'un d'un grand honneur qu'elle faisait a Arès par cette promesse, car le trône des crânes était son bien le plus précieux et elle ne permettait habituellement a personne de s'y asseoir, conservant cette place pour elle. Mais pour Arès redevenue déesse, elle ferait exception et la laisserait prendre place en sa compagnie pour une délicieuse étreinte passionnée encore plus intense que celle qu'elles étaient en train de vivre. Même si elle était du genre traitresse avec ses champions, les forçant a s'entretuer pour ses beaux yeux, Anowen était une déesse de parole, elle n'en avait qu'une. Lorsqu'Arès serait redevenue divine, elle lui ferait l'amour sur le trône de crâne, c'était maintenant inéluctable, car Anowen restait persuadée que sa rouquine préférée parviendrait a son objectif. Il s'agissait d'ailleurs probablement d'avantage d'un souhait que d'une prédiction, puisqu'elle n'était pas diseuse de bonne aventure et ne savait pas lire l'avenir. La déesse suprême devait surement le pouvoir, après tout, personne ne connaissait réellement l'étendu de ses pouvoirs, même une déesse aussi âgée qu'elle...A vrai dire, Anowen ne l'avait jamais rencontrée, mais a ce moment, en entendant le cri d'Arès et en la voyant rougir, c'était bien le cadet de ses soucis. Sa concentration était uniquement focalisé sur le plaisir qu'elle offrait a l'ancienne déesse afin de lui faire connaître l'orgasme. Cette dernière partagea son baiser, probablement surprise mais heureuse en même temps de la proposition, alors qu'elle pouvait sentir le second doigt se faufiler en elle pour venir lui offrir encore plus de sensation.

Aucun doute, elle était devenue bien plus sensible que jadis, mais Anowen avait progressé aussi. La brune senti les bras de la rousse se refermer autour d'elle alors qu'Arès ouvrait plus les jambes pour lui laisser plus de champ, ce qui lui permettrait a long terme de faire entré un troisième doigt. L'ancienne déesse de la guerre prolongeait le baiser afin d'étouffer ses gémissements de plaisir, peut-être dans la crainte d'être vue, mais a part des esprits désincarnée qu'Anowen se plairait a provoquer en montrant a quel point la vie pourrait apportée de jouissance et d'exaltation, elle ne voyait pas qui viendrait sur ce champ de bataille les perturber pendant qu'elles faisaient l'amour. De toute manière, le fait d'être vue dans le fond ne la dérangeait pas plus que cela, qu'ils viennent donc, ils comprendraient le vrai sens du mot plaisir, probablement mieux qu'avec d'autre divinité, même si elle ne pourraient jamais égaler Sorgoth et Ambroisie dans leurs domaines de prédilection. Arès lui griffe le dos sans faire mal a Anowen pour autant qui apprécie le toucher agréable de l'ancienne déesse. Elle sent ses lèvres se décoller des siennes alors que la jeune femme lui indique que si elle continuait ainsi...Plus rien, un soupir de plaisir la coupa dans sa phrase, Anowen sentait bien que le corps d'Arès était maintenant brulant, elle n'était plus capable d'avoir une pensée cohérente en dehors de ce flot de plaisir et c'était bien ce que la déesse recherchaient.

Elle sentait son sexe de plus en plus humide, maintenant il y avait assez de place pour un autre doigt. Anowen savait qu'il s'agirait la d'un coup de grâce, que son amie ne pourraient retenir sa jouissance avec cela, mais dans le fond, c'était ce qu'elle voulait, l'entendre crier son bonheur de la sentir en elle, et de sentir son corps vibrer sous l'effet de ses caresses. D'ailleurs elle abaissa son visage pour venir lui offrir des baisers ardent dans le cou, tandis que sa seconde main se perdait maintenant sur les fesses en les malaxant fort, afin de lui faire ressentir son désir le plus possible. Aucun doute, maintenant, elle l'encourageait a jouir et a ressentir l'orgasme, elle pourrait toujours temporiser et recommencer ensuite, Anowen était une déesse, sa patience était absolue et dans ce genre de petit jeu, elle était très endurante...

« Fait toi plaisir, c'est pour toi ma douce... »

Dit-elle entre deux baisers dans le cou, elle se serait bien baisser plus pour aller mordiller de nouveau les tétons de ses seins, mais elle ne pouvait le faire pour l'instant, alors elle se contenterait de cela.

Se faire plaisir... Il n'y avait pas de meilleur plaisir que ce qui lui arrivait en ce moment et, sérieusement, qu'est-ce qui pouvait lui procurer plus de plaisir que de faire l'amour avec la seule personne pour qui elle avait des sentiments. Par contre, elle n'avait pas vraiment le temps de penser à autre chose que les doigts de Anowen qui envahissait son corps avec tendresse.

Par contre, quand le troisième doigt se présente à l'entrée bien préparé, elle ferme les yeux et serre les dents, incertaines du résultat. Soit elle allait souffrir, soit ce serait la plus belle expérience de ce moment de tendresse. Anowen semblait comprendre sa crainte et cette dernière va doucement lui embrasser le cou. Elle soupire d'aise, oubliant presque le troisième doigt si menaçant. Puis la main sur son fessier dans un massage tendre retire le reste de ces craintes.

Elle était déjà au septième ciel avec les attentions douces que la déesse lui portait, alors oui, l'insertion du troisième doigt suivi de ces paroles furent un véritable coup de grâce. Arès devient raide et les caresse ne peuvent rien y faire, elle pousse un ultime plainte d'amour alors que son sexe emprisonnait les doigts. Son bassin fait un léger mouvement de va et vient, jouissant allègrement tout en serrant dans les bras de la douce déesse du Meurtre.

Après quelques minutes de cris, de supplication et de sueur, Arès ralentit le mouvement en se mordant la lèvre inférieure, la jouissance passée, elle se sentait étrangement bien et profitait seulement de la douce sensation que lui procurait les doigts en elle. Si Anowen le voulait vraiment, elle pourrait faire jouir une nouvelle fois Arès, mais cette dernière avait l'air si satisfaite.

Dans un bruit que seule une femme à la mouille abondante pouvait faire, elle expulse les trois doigts envahissant de son sexe, pose ses mains sur les joues d'Anowen et lui donne un ultime baiser, long et passionnée, remplit de tous les sentiments qu'elle avait pour la déesse accumuler depuis des années. Avec son corps de mortel, elle avait de la difficulté à contrôler ses pulsions émotionnelles, ce qui était très décevant, elle qui voulait garder ce secret au tréfonds de son âme.

Je suis désolée...

Se sont les seuls mots qu'elle trouve à dire sur le moment, comme une idiote.

Le troisième doigt fut le coup de grâce, Anowen senti immédiatement le sexe d'Arès se refermer sur ceux ci, elle ne pouvait plus faire grand chose a part regarder l'ancienne déesse de la guerre prendre son pied en ondulant du bassin. Elle ne pouvait plus retenir sa mouille et ses cris de plaisir, pour le plus grand plaisir de la déité du meurtre qui remuait quand même encore ses doigts pour lui faire prendre encore plus de plaisir. Sa main parcourait toujours les courbes de ses fesses, mais sous le plaisir et l'excitation, elle l'agrippa d'avantage en sachant qu'Arès n'en ressentirait aucune douleurs : elle était maintenant au septième ciel et ne pourrait plus ressentir de sensations douloureuse avant d'avoir connu l'extase. Lorsqu'enfin elle connue l'extase, elle la vit se mordre la lèvre inférieure et se détendre après l'orgasme. Anowen aurait put repartir a l'attaque et en rajouter, souvent, alors qu'elles étaient encore toute deux déesses, elle l'avait fait pour relancer immédiatement le plaisir, mais cette fois elle s'abstint. Déjà parce qu'elle n'était pas sure qu'Arès soit capable de supporter deux orgasmes d'affilée sans finir totalement épuisée dans son corps de mortel, mais aussi parce qu'elle sentait au fond d'elle même que la belle rousse avait toujours ressentie pour elle bien plus que de la simple amitié...Ses doigts furent repoussées par la jouissance d'Arès, en tout cas, cela était la preuve qu'elle n'avait pas perdue la main et qu'elle lui avait réellement fait de l'effet !

Dans ce corps, Arès ne pouvait plus contrôler ses sentiments aussi bien qu'avant. Aussi Anowen ne fut pas vraiment surprise de se long baiser passionnée qu'elles échangèrent, ressentant les véritables sentiments de l'ancienne déesse. Elle avait vraiment du la faire souffrir, Arès sachant qu'Anowen refuserait ses avances, partant a la conquête d'un amour illusoire qui ne saurait être réellement atteint dans ce monde, alors que la véritable cible de ses sentiments semblait d'avantage absorbée par ses ambitions personnelles et la construction d'un magnifique trône de crâne et d'airain. Pourtant, et elle devait le savoir, elle avait toujours eue l'autorisation de venir la voir quand elle voulait, même lorsque la brune meurtrière était occupée par son trône. Elle s'excusa après le baiser, tandis qu'Anowen portait sa main qui n'était pas emplie de la mouille d'Arès vers sa joue pour la caresser, avec un regard tendre et compatissant...C'était quelque chose a mettre dans les anales, a part lorsqu'elle voulait tromper l'un de ses champions du coté de l'ordre, elle n'arborait que très rarement ce genre de regard de manière naturelle et sincère. Et pourtant, cette fois, c'était le cas...

« Allons chérie, ne t'excuse pas, j'avais comprit depuis longtemps tu sait...Dans le fond, je suis égoïste, j'aurais du te le dire depuis longtemps plutôt que de te laisser souffrir. Tu a toujours comptée beaucoup pour toi. J'accepte de t'offrir cet amour que tu recherche tant, que j'ai partagée en compagnie pendant des siècles, mais je t'en supplie, ne me demande pas de t'être fidèle pour l'éternité, même si je n'en suis pas nécessairement fière, c'est au dessus de mes forces... »

Comme pour se faire pardonnée, elle décida d'embrasser elle même la jolie rousse, couvrant son corps de douce caresse et mêlant sa langue a la sienne dans un long baiser passionné, serrant son corps contre le sien de son seul bras encore disponible, elle n'avait pas encore eue le temps de lécher la mouille, prise de court par cette révélation. Toutefois, elle ne s'arrêtât point a se baiser et poursuivit sa tâche en descendant dans son cou afin de pouvoir lui donner quelques baisers tendre et brulant. Suppliante, ce qui était très rare également chez la brune, elle murmura d'une voix sensuelle

« Prend moi Arès...J'attends depuis trop longtemps... »

Comme pour lui prouver, elle frotta son corps contre le sien, n'attendant que de recevoir ce plaisir qu'elle venait de lui offrir...

Elle reste silencieuse un moment, écoutant les dire de la Déesse du Meurtre. La surprise se lisait sur son visage. Anowen était plus attentive qu'elle ne le laissait croire. Bien qu'heureuse, elle ne pouvait pas s'empêcher de se demander si la déesse du Meurtre n'avait pas quelques choses à gagner de cette union. Bien sûr, elle se souvenait parfaitement que Anowen était du genre passive comme déesse, mais lui dire cela après des milliers d'années, c'était étrange.

Enfin bref, elle allait avoir le temps de s'occuper de ça plus tard! Pour le moment, elle se devait d'être la plus heureuse des femmes que portait Érotica. Elle secoue doucement la tête en posant sa main sur celle de Anowen.

« Je ne suis pas en mesure de contrôler tes pulsions, Anowen. Tu as choisi de vivre d'une façon et moi d'une autre. Je ne peux que te demander une chose, c'est de faire attention de ne pas m'oublier quand je suis en ta présence. »

Elle lui dit cela avec le sourire, des larmes sur le bord des yeux et elle accepte les baiser brûlant de sa compagne, la sensation de plaisir commençait à nouveau à l'envahir. Il n'y avait pas de doute, elle était heureuse.

Après la petite séance de baisers, Anowen vient frotter son corps contre Arès et lui fait une demande bien particulière. Sans un mot, elle repousse doucement Anowen pour l'étendre sur le sol et ainsi placer Arès en position de force.

Depuis longtemps? Arès allait devoir redoubler d'effort dans ce cas! Elle dépose un baiser sur les lèvres de Anowen avant de prendre la main couverte de mouille et de la mélanger à leur baiser amoureux. Prendre le temps de goûter à son propre fluide corporelle était quelque chose qui donnait des frissons à Arès et qui lui donnait encore plus de motivation pour la suite.

L'ancienne Déesse ne voulait surtout pas copier Anowen et passer pour une femme qui manque d'originalité. Alors, au lieu de lui embrassé le cou, elle va immédiatement sur la poitrine respectable de Anowen. Elle les masse timidement au début, mais gagne rapidement de l'assurance. Puis sa bouche se mêle à ses mains, caressant le sommet de ces seins avec sa langue.

Vivre avec Anowen, c'était acceptée l'idée qu'il était toujours possible que la brune est idée derrière la tête. Jamais l'on ne pourrait réellement songer qu'elle était totalement honnête, rien que par son titre de déesse du meurtre. Ses premiers amants ne reçurent souvent rien d'autre chose que la mort comme récompense a leurs efforts et la déesse du meurtre n'avait jamais eue de pitié pour eux. Maintenant c'était différent, bien heureusement, elle ne tuait plus les personnes avec qui elle faisait l'amour, et Arès ne serait pas dans ce cas, elle prenait bien trop de plaisir a s'unir a elle pour cela, mais ses manœuvre avec les mortels, poussant parfois ses champions a s'entretuer, semblant toujours vouloir maintenir l'équilibre entre les forces, faisait que finalement, a part les bourreaux et les assassins qui lui seraient fidèle jusqu'au bout, elle ne pouvait réellement compter sur le soutien de grand monde, hormis Arès et peut-être Karys, la déesse des flammes. Anowen essayait également de rallier Sorgoth a sa coalition, mais n'était pas sur d'y parvenir. Utilisait-elle les sentiments d'Arès pour ses propres profits ou était-elle réellement prête a passer l'éternité a ses cotés ? En tout cas, elle avait été sincère et honnête et n'avait fait qu'une seule requête, celle de ne pas être tenue d'être fidèle. Dans le fond, elle savait qu'un moment ou un autre, elle risquait de lui briser le cœur et cette perspective n'était pas réjouissante pour la brune, elle ne voulait pas faire de mal a sa rousse préférée. Oui, l'on pouvait dire qu'elle était sincère, mais sa réputation de traitresse lui collait a la peau, et elle allait devoir le prouver.

Toutefois, les larmes d'Arès était touchante, c'était des larmes de joies, elle était vraiment heureuse de ne pas avoir été repoussée et maintenant pourrait vivre sa passion sans se cacher. Anowen essaya de les sécher du mieux qu'elle le pouvait, préférant la voir sourire ou prendre du plaisir bien sur. Lorsqu'elle lui demanda de la prendre, Arès s'exécuta, forçant Anowen a s'allonger sur le sol rocailleux du champs de bataille avant de venir se placer a califourchon sur elle. Elles s'embrassèrent de nouveau, puis Arès menant la main humide a cause de sa mouille d'Anowen a leurs lèvres, les deux jeunes femmes la léchèrent avidement, son goût étant un véritable leitmotiv pour poursuivre les ébats. Pour éviter de la copier, elle décida d'embrasser directement ses seins. Sentir ses lèvres pincer ses tétons était quelque chose de réellement agréable et la déesse du meurtre commença a laissée échapper quelques soupirs de plaisir face a ce doux traitement. Arès était vraiment attentive a ses moindres désirs et n'avait pas oubliée certain de ses points sensible apparemment, ce qui ne pouvait être que très agréable.

La pointe de ses seins commença a durcir sous cet agréable traitement, Anowen se laissait doucement emportée par les vagues de plaisir que lui procurait Arès, c'était si bon de se laisser aller, même dans un décors aussi apocalyptique...Elle ne pouvait se permettre de lui caresser les cheveux sous peine de se couper immédiatement les mains, alors elle avisa en laissant ses deux mains caressait délicatement ses joues, prenant soin d'éviter de toucher les cheveux. Même si Arès ou elle même aurait put lécher son propre sang, elle préférait éviter de crée des douleurs inutiles, pour l'instant, tout n'était que plaisir, se laisser envelopper dans la douce étreinte de l'amour malgré le décors assez apocalyptique et attendre la suite avec impatience. Les yeux fermée, la déesse avait toutefois un sourire aux lèvres, attendant de savoir ce qu'Arès allait lui réserver.

Les mains sur les joues de Arès était douce et elle adorait ça. Les deux demoiselles ne s'échangeaient aucune phrase, aucune parole d'amour. Leurs actions parlaient assez d'elle-même. Chaque mouvement était calculé et précis. Elle n'avait pas perdu la main dans ce domaine et elle n'avait pas besoin de ses facultés spéciales pour procurer plaisir et bonheur à la Déesse du meurtre.

Une fois le sommet bien dur, elle arrête ses caresses et regarde Anowen avec un sourire. Ses mains glissent sur le ventre de sa compagne dans des caresses amusantes. La Déesse du Meurtre semblait tellement... avoir besoin de l'amour de Arès en ce moment que cette dernière ne pouvait pas se retenir de jouer sur cette attente.

Elle s'était relevée sur Anowen, comme si elle montait à cheval et elle laissait la Déesse du Meurtre languir comme il se devait, avec un sourire mesquin.

« Anowen, est-ce que tu désires vraiment que je profite de toi maintenant? Tu as attendu tellement d'année, peut-être que je pourrais être vilaine et te laisser attendre encore quelques années, tu ne trouves pas? »

Puis elle garde le silence, ses mains continuant ces caresses. Elle arrête toujours ses caresses juste avant de toucher sa poitrine, à chaque fois.

Les deux femmes se connaissaient par cœur, dans le fond, elle savait l'une comme l'autre ce qu'elles faisaient. Ainsi, en se caressant tendrement, veillant a procurer d'agréable sensations a l'autre, elles n'avaient nullement besoin de parler, le geste remplaçait toujours dans ce cas la parole et il était inutile d'en faire plus. Aucune paroles n'auraient rendu justice a leurs pensées de toutes manières, seul les actes comptaient. Elle malaxa sa poitrine ferme jusqu'à ce que les tétons soit bien dur, puis descendit ses mains sur son ventre pour lui donner le grand frisson. Maintenant, elle était assise a califourchon sur elle, comme si elle la chevaucher, et Anowen en profita pour lui caresser tendrement les fesses afin d'en profiter un maximum. Les deux femmes avaient le sourire, la déesse du meurtre sentait monter son désir, elle en voulait plus, c'était certain...Depuis le temps qu'elle attendait, cette garce de déesse suprême n'allait surement pas l'emporter au paradis ! Avoir osé bannir la déesse de la guerre pour ingérence, alors qu'il était du rôle même des dieux de guider ses idiots de mortels pour qu'ils fassent de grande chose, c'était idiot. Si les Dieux restaient en dehors de la vie des mortels, ils ne servaient plus a rien, c'était de cette façon qu'ils avaient été remplacer par des mortels, mais la déesse du meurtre avait prit sa décision, elle allait changer les choses une bonne fois pour toute !

Arès laissa échapper un sourire mesquin teintée de sadisme en lui expliquant qu'elle pourrait être vilaine et la faire attendre encore quelques années de plus, mais cela serait vraiment très sadique et difficile a supporter pour la déesse du Meurtre, mais après tout, elle n'avait qu'à s'en mordre les doigts, puisque c'était elle et personne d'autre qui avait apprit a Arès les bienfaits du sadisme, alors que la déesse de la guerre était encore une gentille fille. Elle n'a jamais essayer d'en faire une personne aussi sombre, secrète et folle qu'elle même, mais a tout de même transmis des choses a celle qui occupait ses pensées les plus secrètes. Bien sur que les autres soit au courant ne la dérangeait pas plus que cela, car ses ennemis prendrait cela comme une faiblesse qu'ils essayeraient d'exploiter, ce qui les rendraient d'autant plus prévisible et donc facile a vaincre aux yeux de la déesse du Meurtre. Quoi qu'il en soit, pour rien au monde elle aurait voulu voire la belle rousse changeait pour lui ressembler de trop, c'était justement son coté plus naturelle et spontanée qui la rendait si irrésistible aux yeux du meurtre, sa bouffée d'oxygène dans son monde de ténèbres.

« Tu pourrait, mais tu en souffrirait peut-être encore plus que moi chérie, ce qui ne nous ferait pas du bien...Veut tu que je te supplie ? »

Demanda la brune, moitié implorante, moitié amusée en regardant le corps de mortelle de la déesse du meurtre. Au moins, elle n'avait rien perdue de ses charmes et savait toujours aussi bien éveillée ses envies, nulle besoin de pouvoir pour se faire du bien, même si cela pouvait donner de grand coup de pouce, aucune des deux déesses ne disposait de ce genre de pouvoir, et elles n'en avait pas vraiment besoin a vrai dire...Anowen continua de caresser doucement les fesses rebondies d'Arès ainsi que son dos, se laissant aller a rêver de plus, attendant plus, c'était certain, a la voir ainsi admirer sa belle, remuant quelque peu le bassin de désir afin d'essayer de stimuler Arès...

Ce n'était pas le genre d'Arès de faire de tergiverser de la sorte. Elle avait toujours apprécié la méthode directe dans tout ce qu'elle abordait : Requête aux autres dieux, sexe... pour Arès, à l'époque où elle était encore parmi les siens, remplir une demande n'était jamais très long : Analyse, attaque et victoire était sa seule façon de pensée.

Ce n'est que quelques années avant son bannissement, après avoir passé un long moment avec les elfes pour leur apprendre l'art de la guerre que sa personnalité s'était complexifié. Peut-être que le contact prolonger avec les races mortelle l'avait changé ? Alors, on pouvait légitimement se poser la question : Comment Arès va évoluer, prisonnière dans un corps de mortelle, serait-elle encore en mesure de prendre le contrôle de la Guerre une fois de retour au palais des Dieux ? Comment se changement pouvait affecter les plans de Anowen à long thermes ?

Sûrement des questions qui trottaient dans la tête de la Déesse du Meurtre alors que Arès se tenait au-dessus d'elle lui caressant le ventre avec un regard tendre. Soupirant de plaisir alors que les mouvements de bassin de Anowen appuyer sur son sexe et lui procurait quelques instants de bonheur.

« Me supplier ? Tu sais que tu n'as pas besoin de ça avec moi, de ces artifices de domination. »

dit-elle en se penchant vers l'avant pour lui donner à nouveau un long baiser. Ses mains remonte sur les seins de la Déesse pour un peu plus de caresse, mais ça ne dure pas très longtemps. Déjà elle descend lentement, couvrant le corps de la jeune femme de bises, elle ne prend pas le temps de s'arrêter nulle part, avançant inexorablement vers sa sexualité comme une armée marcherait vers son objectif.

Une fois arrivée à l'endroit désigner par son esprit, elle pose sa main sur le mont de Vénus de la douce et fait de douce caresses, sans trop appuyer dessus et, avec sa langue, elle trace le contour du sexe de la Déesse du Meurtre. Chaud et savoureux, elle peinait à se contenir de ne pas agir comme un brute et de faire jouir sa compagne trop rapidement. Après tout, cela faisait des centaines d'années qu'elle ne s'était pas retrouvée, il fallait faire durer le plaisir.

Pour l'instant, elle ne songeait pas vraiment a ses guerres de conquêtes...Malgré le fait que son esprit soit toujours branchée un minimum sur ce genre de réflexion, elle savait aussi se laisser allez pour se faire du bien ou lorsque cela devenait nécessaire, et c'était parfaitement le cas ses temps ci. Pour l'instant, qu'importe les changements, c'était la retrouver qui était importante. Quand aux inquiétudes éventuelle d'Arès, Anowen savait qu'elle pourrait les calmer rapidement. Dans ce corps de mortels, il était normal que sa vision soit plus limitée. En retrouvant ses pouvoirs divins, la demoiselle aurait de nouveau l'occasion de prendre de la hauteur et la brune était persuadée qu'elle parviendrait a en tirer quelque chose d'intéressant, cette expérience en tant que mortelle risquait d'être très instructives...Le tout étant, bien sur, de ne pas tirer de mauvaise conclusions ! Mais pouvait-il y en avoir ? Mystère et boule de gomme ! De toute manière, chaque expériences changeait une personne, même s'il y avait toujours un bloc pratiquement immuable qui était plus ou moins fiable et solide pour chacun. La déesse ne faisait pas exception a la règle et même Anowen se voyait changer par tout ceci, elle plus vite que n'importe qui...A moins que dans le fond, elle ne soit toujours la même en réalité !

En tout cas, ses mouvements de bassin n'avait pas laissée Arès indifférente, le frottement crée entre la fleur de celle ci et la peau d'Anowen lui ayant transmis quelques sensations agréable, probablement a cause de l'action précédente qui avait laissée le corps d'Arès encore très sensible. Le moindre fait de toucher quelque peu ou d'effleurer la peau de sa fleur avec la sienne serait suffisant pour laisser de petite décharge de plaisir a l'élue de son cœur. Cette dernière répondit qu'elle la connaissait bien et qu'elle n'aurait nullement besoin de faire usage de son attirail de dominatrice avec elle, ce qui était parfaitement exact. Si Anowen lui avait effectivement montrée quelque petit jeu qu'elle jugeait sympathique, elle savait qu'Arès ne serait jamais du genre a supporter ce que Karys était capable d'endurer en prétendant ne ressentir que de léger picotement. Mais qu'importe, chacune ses qualités, Arès était parvenue a devenir plus importante par la relation qu'elles avaient toutes deux construit pendant des millénaires ! Et pourtant, cela n'était pas gagnée. La déesse de la guerre a vu longtemps celle du meurtre comme son pendant maléfique, mais en apprenant a se connaître, elles étaient arrivée la ou elles étaient aujourd'hui, c'est a dire a essayer de faire progresser leurs relations a quelque chose de bien plus important que l'amitié, et ceux même si Anowen savait que le concept de fidélité lui serait éternellement étranger.

Toutefois, Arès savait se montrer conquérante, et elle reprit ses caresses sur la poitrine d'Anowen avant de descendre rapidement ses lèvres vers la caverne des plaisirs. La jeune femme la laissa faire, prenant plaisir a ses délicates attentions. Arès prouvait qu'elle avait garder son tempérament de fonceuse : elle allait directement a l'objectif en déposant de doux baisers sur son corps, mais elle ne ferait guère de détour comme l'aurait fait d'autre, cela n'était définitivement pas dans son caractère ! Toutefois, elle prit plus de temps en arrivant a l'objectif, caressant doucement le bouton de plaisir d'Anowen et passant sa langue sur les lèvres de l'antre de celle ci. Fermant les yeux, la déesse senti sa respiration devenir plus lourde, plus saccadée sous les vagues de plaisir qui la touche. Elle aimerait pouvoir lui caresser les cheveux, mais elle ne le peut sous peine de risquer de se couper, alors elle écarte le plus possible les jambes afin de lui laisser l'accès le plus libre possible et se laisse faire, totalement absorbée par les vagues de plaisir traversant son corps divin, telle d'agréable petite décharge électrique...

La conquête ne faisait que commencer en réalité. Ce nouveau départ lui faisait du bien et ses sens de mortels était beaucoup plus aiguisé dans ce domaine. C'est une chose qu'elle regrettera quand elle aura fait son ascension, mais c'est un petit sacrifice devant tant de pouvoir.

Par contre, si elle allait voir Anowen pour passer le temps à l'époque, aujourd'hui c'était différent. Ses cinq sens était assaillit de sensation qui obsédait Arès. L'odeur que dégageait le corps de Anowen était plus bon et subtil que le plus apprécier des parfums qu'elle pouvait imaginer. Ses doigts glissaient sur sa peau plus douce que la soie la plus rare. La vue de Anowen prendre plaisir à ses caresses était tellement intense qu'aucun peintre ne saurais immortalisé ce moment avec autant de puissance. Finalement, sa langue récoltait le goût de sa compagne, un goût encore plus divin que la nourriture du château blanc. Son cerveau se perdait dans le méandre de toute cette information, laissant place à la seule émotion possible dans tout le répertoire : le bonheur.

Il y avait une chose que les mortels avaient de plus que les divins et c'était ça. Les dieux ressentaient du plaisir, même de la jouissance quand ils accomplissaient leur mission... mais à chaque fois que Arès se donnait à une autre activité que la guerre, elle ne pouvait jamais y mettre toute son attention, il y avait toujours un petit coin de son esprit fixé sur sa divine mission. Il y avait toujours le bruit de fond de ces fidèles, peut importe où elle allait, ce qu'elle faisait. Aucun moyen de s'échapper. Maintenant c'était différent, il n'y avait rien... seulement le bonheur de faire plaisir à Anowen, la femme de ses rêves depuis des millénaires.

Devant le corps de sa Déesse qui tremblait d'excitation, Arès ne pouvait faire qu'un pas en avant. Reculer maintenant aurait été beaucoup trop méchant et l'ancienne Déesse ne voulait surtout pas avoir de dette à payer plus tard à Anowen, une chose qu'elle pourrait regretter. Elle continue donc de lécher doucement et tendrement le sexe de sa compagne. Ses caresse devenait un peu plus intense, cherchant toujours à faire de plus en plus plaisir à sa compagne.

Après un autre moment avec sa langue, Anowen était prête à accueillir un des doigts fins d'Arès en elle. Elle laisse donc une de ses caresses descendre jusqu'à son intimité. Elle s'occupe un moment du sommet de plaisir de la douce, humidifiant son doigt de la mouille de sa déesse au passage, puis elle l'insère en elle doucement, sans aucun geste brusque. Une fois à l'intérieur, elle caresse doucement les parois à l'intérieur, se voulant un peu exploratrice. Elle garde tout de même un oeil sur sa douce moitié, voir si elle lui faisait mal ou l'ennuyait.

» L'appel de la forêt
» Anowen, Déesse du Meurtre
» Une journée banale... ou presque [PV Anowen]