Un nouveau maitre ~~pv~~

Il est temps de se préparer, mais elle n’en avait pas envie, mais alors la pas du tout.. Cela lui faisait mal de quitter cette famille, bien qu’elle n’aimait pas trop l’homme, la femme allait lui manquer et l’enfant encore plus. La jeune esclave sentait les larmes couler sur ces joue, alors qu’elle prenait pour la dernières fois une douche dans cet endroit.. Son corps frissonnait doucement, de douleur, celle de la séparation. Sortant de la douche, elle passa la tenue que sa maitresse avait choisit... Le plus souvent dans cette maison, elle se promenait seins nu, parce qu’elle préférais que cela lui faisait moins mal, et puis la dame aimait beaucoup pouvoir les toucher quand elle le voulait, elle adorais faire descendre le lait de la jeune femme. Mais tout cela était fini, tout étais fini, une mauvaise affaire et le maitre s’était ruiner, le seul moyen d’avoir un peu d’argent était de la vendre... Donc elle devait partir.

Prenant le temps de se sécher, de se coiffer la jeune femme fut presque prêtes.. Soupirant elle passa son haut, juste un sous-tiens gorge noir et blanc tacheter comme le pelage d’un vache... Elle passa aussi les manche, et le collier de cuir qui allait avec. Comme dessous un mini short tacheter lui aussi qui moulait ces fesses et laissait sa queue de vache libre de bouger... Elle fini par mettre une paire de botte qui monte jusqu’a mit cuisse, encore une fois avec son imprimer préférer...

Doucement elle descendit les marche, ou l’attendais un homme qu’elle n’avait jamais vus, et qu’elle en reverrais surement plus une fois arrivée a l’endroit ou on allait la vendre... Les mains croisée devant elle, elle entendis le son du mousqueton qui s’accrocha a sa chaine, voila elle n’était plus a eux, mais a ce marchand, qui allait la vendre dans quelque temps...

La tête basse, la jeune femme suivit l’homme, retenant ces larmes, le trajets fut long, mais qu’importe la vachette avait l’habitude des situation un peu étrange. Mais le moment était douloureux.. Enfin les voila arriver sur le marché au esclave, elle devait être l’une des plus calmes, l’une des seules a suivre son goelier sans aucune peur... Parce qu’elle savait qu’elle n’avait pas le choix.

Arriver a la boutique il était tard et la nuit était déjà tomber, l’homme qui la tirais en laisse semblait de mauvaise humeur, surement qu’il était nerveux, un instant il observa la petit vachette avant de lui faire signe de la suivre, les deux êtres finirent par arriver dans une petite pièces, avec juste un lit.... D’un geste il expliqua a la jeune femme qu’elle devait se mettre a nus, ce qu’elle fit pliant ces vêtements pour ne pas les habiller, a peine fut t’elle nue que l’homme laissa ces mains courir sur son corps, jouant avec ces seins pleins, elle sentait ces doigts courir sur son corps, et surtout elle vit l’homme se mettre nu aussi...

Habituée a donner du plaisir au homme, elle lui en donna le suçant quand il lui demandait, il l’insultait alors qu’il la prenait par devant par derrière, d’aprés l’homme il devait tester la marchandise, mais elle , elle savait ce qu’elle valait, et coucher avec le marchand, n’était qu’un obligation de plus... Quand il s’écroula endormis dans le lit, elle se leva, et chercha la douche, elle prit son temps pour se laver, avant de remettre ces vêtements, et d’aller dormir dans un fauteuil... Parce qu’elle ne dormirais pas avec lui.

Le matin arriva rapidement, et il la fit sortir, attachée dehors a un vulgaire poteaux, la jeune femme attendais que le temps passe, chantonnant doucement, jouant avec ces doigts, simplement parce que l’homme l’avait mit un peu sur le coté surement pour pouvoir encore jouer avec elle pendant longtemps... Seulement personne ne lui avait tirer le lait, et il lui faisait mal, ces tétons dressait sous le tissus, un peu de lait coulant... Mais elle ne disait rien continuant a chantonner doucement, balançant les pieds de l’endroit ou elle était attachée... Que le temps semble long des fois.

Ulric n'était pas dans sa plus douce humeur aujourd'hui, ou plutôt en ce début de soirée. Il avait fit le long voyage depuis Roche-sang jusqu'à Nymphéa pour venir visiter son marché aux esclave réputé mais, jusqu'à présent, il trouvait plus d'enseignes et de marchands rangeant leur marchandises vivantes que de commerçant ayant songé aux acheteurs nocturnes ! Lui qui ne pouvait sortir à la lumière du jour se trouvait dès lors piégé par les habitudes de vie autochtones et fulminait de sa malchance et de son décalage avec ces satanés nymphéens ! Ils pouvaient tout de même laisser leurs boutiques d'esclaves pour un vampire ayant fait le trajet expressément pour cela non ?!?
D'autant plus que, vêtu d'une tunique de soie noire finement décorée de broderies au fil d'argent et ceint de son armure noire aux impeccables reflets mats il signalait plus que de raison son statu social de dirigeant du peuple vampire... et donc de ses moyens financiers en rapport, assez aisés pour acheter les marchandises les plus onéreuses !

Mais non il en était réduit à devoir faire à pas pressé les derniers étals d'esclaves que leur vendeurs n'avaient pas encore finis de rentrer dans les boutiques pour la nuit. Du coup, fortement contrarié, il affichait un air dur et prédateur qui forçait la plupart des passant à s'écarter devant ses pas et à fuir son contact tant il semblait prêt à exploser de rage.
Et sa rage au ventre le poussait à avoir les sens aux aguets, ouïe, vue, odorat étaient aiguillonné par on ire et ne s'en retrouvaient que plus perçants et aiguisés. Et justement quant une odeur habituelle frappa ses narines il s'arrêta de marcher de son pas pressé et colérique pour essayer d'en trouver la source... par delà la sueur des corps, le ton salé de quelques larmes, le goût métallique du sang se trouvait une odeur douce et sucrée de... lait ?!?
Que diable pouvait faire une telle odeur dans un marché aux esclaves ? Encore sur un étal de marché alimentaire Ulric n'eut pas été surpris mais ici ?!? Curieux il remonta la source de l'odeur, arrivant devant un vendeur qui, encore une fois, rangeant lentement ses marchandises vivantes dans sa boutique pour finir sa journée et rentrer chez lui... ou jouer avec ses pensionnaire une partie de la soirée.
Passant devant l'homme le vampire vit alors qui émettait une si forte, et plaisente, odeur de lait chaud : une créature au physique humanoïde mais pourvue de ressemblances avec les vaches, cornes, queue, et seins imposant d'où coulait donc le fameux liquide à la blancheur de nacre. Car si déjà en matinée la pauvre vachette s'ennuyait et souffrait de n'avoir été traite en ce début de soirée son mal n'avait pu qu'empirer !

Enfin la créature était à son goût, elle semblait jolie, douce et surtout docile ! Il ne venait d'ailleurs pas ici, n'avait pas traversé des contrées pour se trouver une amie mais bien une esclave servile qui saurait le satisfaire, et supporter ses sautes d'humeur et sa soif de sang.

-Combien pour la créature en vente, celle attachée au poteau là ? demanda alors Ulric au vendeur en pointant Miruku du doigt.

Il se doutait que le marchant ne voudrait pas forcément le vendre à cette heure-ci alors qu'il pensait avoir conclue sa journée mais le Vampire se moquait bien des souhaits de ce dernier, il voulait Miruku et il comptait bien l'avoir.

-Tu as un nom, créature ? Demanda t-il ensuite en retournant devant l'esclave.

De prêt elle était tout aussi jolie d'ailleurs, et Ulric ne se gêna pas ni ne demanda la permission pour passer son index receuillir un peu du lait qui trempait le soutient-gorge de la vachette par dessus ses tétons durcit et douloureux à force de pointer à travers le tissu. Bien sur il profita de son geste pour passer son ongle griffer doucement la pointe érigée du sein de la créature, juste pour la voir réagir et s'amuser à contempler la façon dont elle ressentirait le contact.

-Je l'achète, le prix n'est pas important ! finit-il par conclure tant pour la petite esclave qu'il dominait de sa taille que pour le vendeur encore dans son dos et dont il ne se souciait de toutes façons que peu.

Le temps semblait passer lentement si lentement, la jeune vachette avait arrêter de chanter un moment, parce que la douleur devenait trop forte, elle en avait vu des gens passer, choisissant d’autre être, d’autre personne, mais pas elle, le jeune femme en venait a se demander pourquoi… Qu’est ce qu’elle faisait de mal… Elle se débrouillait pourtant avec une maison, sachant parfaitement faire le ménage, la cuisine, et elle pouvait aussi servir de poupée. Plus la journée passait, plus elle se sentait triste, ne pas avoir de maître était pour elle quelque chose d’atroce, c’est comme si elle se retrouvait sans maison, sans rien a quoi s’accrocher, elle voyait peu a peu la nuit se faire, et savait bien qu’elle allait encore devoir passer une nuit avec le vendeur… Qui allait encore s’amuser a lui faire mal, non que cela la gène, mais il n’était pas son maître, et cela dérangeais un peu la vachette.

Pourtant elle ne bougeait pas, elle savait que l’homme allait venir la chercher en dernier, parce que c’était plus facile, en fait elle n’osait plus trop bouger, le moindre mouvement lui faisait un mal de chien, elle avait peur de s’écrouler sous la douleur, on lui avait toujours apprit a ne pas se traire seul.. C’est pour cela qu’elle ne bougeait pas, qu’elle n’osait pas toucher a ces sein qui semblait sur le point d’éclater… Elle savait que son haut était tremper par le lait, et que le tissus était tendus au maximum, ces tétons clairement visible.

Ces yeux bruns se levèrent soudain sous la voix d’un homme, une voix rauque, sure d’elle, le genre de voix qui faisait frémir la petit vachette, et il n’y a pas que la voix qui fit frémir la jeune esclave… L’apparence de l’homme était aussi a couper le souffle, ces cheveux noir et long lui donnait envie de passer sa main dans ces cheveux, ou alors de les lui brosser… En observant bien ces vêtements, elle pouvait dire que l’homme était riche… Et il la voulait elle… Non ce n’était pas possible, cela devait être une autre esclaves…

Le vendeur quand a lui sentait une bonne affaire venir, et s’en frottait presque les mains, par contre il ne voulait pas aller trop vite, pour obtenir le plus de cette vachette, pour tout dire il aurais bien voulut jouer avec elle encore une nuit… Mais bon l’appât du gain est plus puissant encore que l’envie de chair .

La vachette posa son regard sur l’homme, rougissant doucement, parce qu’il l’impressionnait, que son aura la troublait, plus qu’elle ne voulait bien le dire… Elle se sentait intimidée devait lui.

« Miruku… ha… Mo..monsieur. »

Au milieu de sa phrase la vachette n’avais put s’empêcher de pousser un petit cris de plaisir et de douleur, de plaisir parce qu’elle aimait qu’on lui caresse les seins, et de douleur parce que l’ongle de l’homme c’était enfoncer dans sa peau. Ces seins trop sensible, lui firent voir des étoiles, elle du un instant fermer les yeux pour ne pas s’évanouir…Elle se força pourtant a se lever, pour s’incliner face au jeune homme, comme on lui avait apprit.

Le vendeur s’approcha se frottant les mains, passant devant le vampire, il fit redresser sa tête a la vachette, qui sous la douleur de sa poitrine avait les larmes aux yeux.

« Je vends cette créature a 25 000, vous faites une affaire, elle est bien dressée et ne se plaint jamais. »

La vachette rougis un peu plus, quand elle sentit les mains de l’homme venir prendre son seins et ne put s’empêcher de pousser un gémissement quand il pressa le seins faisant couler le lait rendant le tissus encore plus transparent qu’il ne l’étais… Le regard perdus de la vachette se posa un instant sur le vampire comme pour lui demander de l’aider, de ne pas l’humilier plus qu’elle ne l’était déjà en public.

« Je vous vends le collier et la laisse en prime… Par contre elle n’a pas été traie aujourd’hui… Elle est donc un peu salissante. »

Le rouge monta au joue de la jeune femme, alors qu’elle sentait les larmes d’humiliation monter a ces yeux, mais pas un mot ne s’échappa de ces lèvres, elle avait peur en fait que le jeune homme ne la prenne pas.

La petite esclave semblait plutôt ultrasensible au niveau de sa poitrine gonflée à en exploser, et ce détail participa à plaire à Ulric. Il apprécia le petit gémissement de la créature quant il griffa doucement la pointe tendue et laissa la pauvre tituber sous l'effet de la douleur, et du plaisir, qu'elle ressentit à ce contact partagé entre sensation agréable et violente à l'en faire s'évanouir. Miruku semblait décidément parfaite pour le divertir, elle l'amusait et l'excitant tout autant dans ses réactions.
Et de la voir les larmes perler aux yeux ne rendit pas la vachette moins mignonne quant le vendeur revient en la forçant à se redresser après qu'elle ait salué Ulric d'une courbette solennelle.

L'homme lui déclara alors vendre Miruku pour 25 mille, ce qui était assurément une lourde somme, qui pouvait avoir 25 milles pièces dans une bourse ?!? Et Ulric n'avait pas songé à venir avec un sac à dos remplis de la lourde somme en petite monnaie. Heureusement le Vampire n'avait pas de pièces dans sa bourse mais des joyaux précieux, dont la valeur était bien plus grande que celle de l'or tout en prenant beaucoup moins de place. Il n'avait donc pas de problème devant le prix, même exorbitant, de l'esclave.
Ce qui déplu par contre au Vampire fut de voir les seins de sa nouvelle propriété maltraité de la sorte pas une autre personne que lui. Le regard perdu de la vachette et la honte qu'elle éprouvait ne l'intéressait pas trop, mais il n'aimait pas voir le vendeur poser encore ses mains sur elle alors qu'elle lui appartenait déjà, ou presque. Sortant sa bourse il y piocha de grosses émeraudes sans défauts et un rubis naturel parmi les plus beaux de son lot et les mit dans la poche du veston du vendeur de Miruku avant de gifler la main de ce dernier, frappant bien entendu le seins lourd et enflé de lait de la pauvre esclave du même coups, même si de ce dernier fait il n'avait pas trop de soucis.

-Voilà de quoi, très largement, vous payer, aussi ne touchez plus ce qui m'appartient désormais ! Siffla le vampire d'un ton glacial.

Il avait surement fait violemment mal à la pauvre créature en chassant la main du vendeur qui lui comprimait le sein sans faire attention dans sa gifle. De crainte qu'elle ne retombe d'évanouissement sous la douleur il passa un de ses bras aux hanches de la bovine pour la tenir contre lui, laissant le lait gicler de quelques gouttes blanches sur la cuirasse de métal noir qui lui protégeait le torse.

-Allez me chercher son colier et sa laisse pendant que je m'occupe d'elle ! ordonna t-il pour éloigner le vendeur quelques instants. -Et toi regarde-moi... je suis Ulric Aenarion, tu m'appellera maître désormais compris ?!? Ce n'est pas grave si tu met un peu de lait sur moi, tu nettoieras le moment venu pour le moment il te faut ton collier et ta laisse pour que nous partions... Tu peux marcher dans ton état ?

Il la secoua doucement pour l'obliger à rester consciente si jamais elle s'avisait de tourner de l'œil pendant qu'il lui parlait. Il ne savait trop quel était l'état de douleur dans lequel se trouvait la pauvre Miruku et, si elle ne l'en informait pas, il risquait fort d'attendre pour le traire qu'ils aient finit ici et soient passés acheter quelques habits pour remplacer ceux trempés de lait de l'innocente esclave.

Sous la gifle la jeune femme dut se mordiller les lèvres, voyant un peu plus des étoiles s’allumer sous ces yeux, c’est qu’il lui avait fait mal en la frappant en même temps que la main du vendeur, mais la jeune femme était soulagée que le vendeur ne la touche plus, il avait les main moite et elle ne supportait pas cela.
Pourtant encore une fois elle rougit en sentant le bras de l’homme autour de ces hanches, sans savoir pourquoi elle se sentait a la fois en sécurité et en danger, un sentiment qu’elle ne connaissait plus depuis longtemps, elle avait a la fois envie de fuir et se rester bien tranquille blottie contre le vampire…

Le regarder non elle n’oserais pas, elle n’avait pas le droit de croiser le regard de son maître, pourtant elle leva doucement son visage, pour poser ces yeux sur le vampire. Hochant doucement quand il lui dit qu’elle devait l’appeler maître, de toute façon elle n’aurais pas penser l’appeler autrement, il venait de l’acheter, il avait a présent sur elle toute disponibilité.

« Oui maitre.. je.. je devrais me débrouiller… Me..merci de vous en soucier. »

Toujours être polie, voilà ce qu’on lui avait apprit, ne jamais mentir non plus, parce que c’est vrai que si la douleur était forte, elle avait déjà ressentit pire, son ancien maître était adapte des tortures extrêmes et si il n’avait eu un don de soin, la vachette aurait été bien plus marquée ,qu’elle n’aurais pas put être aussi mignonne, si il ne l’avais pas soigner.

Doucement secouer sa tête il ne fallait pas qu’elle s’appuie comme cela sur son maître.. Posant un mains sur sa cuirasse elle se redressa doucement, gémissant doucement, mais elle tiendrais le coup, sous ces dehors fragile la jeune femme était quelqu’un qui avait de l’endurance.

Un instant grimacer quand elle rajuste ces vêtements, la pression du marchant avait presque fait sortit son seins de sa tenue… C’est déplorable d’agir comme cela…

« Ou..ou voulez vous a..aller maître ? »

Doucement se tenir droit, et essayer de ne plus penser a la douleur, parce que sinon elle allait hurler de mal… son regard se détourna un instant vers le marchant qui revenait avec un collier tout simple en cuir sombre, bon c’est pas trop compliquer, elle souris quand enfin il la libera du poteau, elle préférais sentir un laisse autour de son coup, qu’une chaîne de fer..

Tendant la main elle saisit le collier le passant d’elle même autour de son cou, comme pour bien montrer qu’elle décidait presque de son plein gré de suivre le jeune homme… Passant un main dans ces cheveux elle chercha a rajuster sa tenue… La douleur encore bien présente dans ces yeux, peu être que marché lui changera les idées.

Miruku tint bon comme Ulric l'avait espéré et si elle eut encore des points lumineux qui dansèrent devant ses yeux elle ne sembla pas flancher sur ses jambes. Non la vachette semblait plutôt lutter pour rester consciente et digne dans les bras de son nouveau maître... comme pour profiter de ce moment où, enfin, elle se sentait ré-appartenir à quelqu'un.
Et de son coté le "maître" n'en profitait pas moins. Il était en effet très agréable à Ulric de sentir la docilité et l'abandon de Miruku pressée contre lui, la jolie bovine semblait lui être totalement déjouée maintenant, et si rapidement qui plus est... c'était une sensation grisante que de se dire qu'il la possédait pour le vampire.

-Il est normal que je me soucis de ce qui m'appartiens. expliqua alors le vampire devant les paroles de Miruku.

Il la laissa se détacher de lui par la suite, non sans profiter du recul de Miruku pour attarder sa main sur le galbe des fesses de la créature avant qu'elle ne quitte ses bras. Si la douleur lui était supportable de toutes façons cela n'était que mieux. Ulric n'avait pas franchement d'expérience dans la traite des bovins, fussent-ils hybrides et ce surtout en publique, il préférait être dans l'intimité pour apprendre comment tirer le lait des adorables seins de sa nouvelle esclave.
Enfin pour le moment elle jurait être capable de tenir encore quelques temps et le vampire voulait bien la croire tant cette annonce l'arrangeait. Ils avaient d'autres choses à faire encore avant de penser à soulager les lourds seins de la jolie vachette.

Quant à l'endroit où il voulait aller...

-Tes habits sont trempés de lait et presque transparents, je songeais à aller en acheter de nouveaux mais les boutiques doivent être fermées de nuit...

Il ne restait dès lors qu'à rentrer dans une auberge, et à y finir la soirée tout ne laissant au lendemain la nouvelle garde robe de la créature.

_Mais au fait, j'ai entendu dire que les Créatures avaient quelques pouvoirs... en possède-tu toi, Miruku ? demanda soudainement Ulric en tirant sur la laisse pour faire revenir la vachette contre lui.

Et ainsi obligée de se tenir à nouveau contre lui il alla discrètement attarder sa main le long des fesses de l'esclave, s'amusant à les lui caresser alors que, caché par les pans de sa cape, personne ne pouvait le voir ou deviner faire ces attouchements, légers au demeurant.

Se soucier d’elle c’était un peu étrange. Parce qu’elle n’avait pas vraiment l’habitude, simplement parce que son ancien maître ne se souciait absolument pas de ce qu’elle faisait ou de la douleur qu’elle pouvait avoir. Elle n’avais pas non plus l’habitude que le maître la caresse comme cela, c’est si agréable après longtemps, cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avais plus porter de chaîne .

Observant un instant le maître, la jeune vachette réfléchit, pendant quelque seconde, déjà elle avait deviner que son maître était un vampire, ce qui signifiait qu’il ne pouvait vivre que la nuit, drôle de manière de vivre vous ne trouvez pas, elle même préférais de loin, le soleil, a la noirceur, mais bon elle s’habituerais a tous, elle en avait l’habitude. C’est vrai aussi que les boutiques était fermée la nuit, ca devait pas toujours être facile de vivre que de nuit…

Un instant la petit vachette se demanda si son maître la laisserais sortir en journée. Pour qu’elle puisse faire les course et le reste, parce qu’il fallait bien qu’elle mange non… Se serais idiot de mourir de faim, surtout que si elle ne le trompait pas, il lui faudrait rester en forme pour que son maître puisse lui prendre son sang… Non tout cela ne faisait pas vraiment peur a la vachette en fait elle était tellement habituée a se plier au exigence des gens qu’elle trouvait cela même plaisant.

Un petit couinement lui échappa quand le maître tira sur le collier, la faisant venir se coller a lui, la cuirasse qu’il portait lui faisait un peu mal, mais bon c’est agréable d’être contre quelqu’un même si il n’est pas aussi chaud que les autres. Rougissant doucement sous les assaut de la main, la petit vachette réfléchit un instant, non pas qu’elle ne connaissait pas ces pouvoir mais seulement qu’elle ne savait pas comment les expliquer.

« Miruku peut avoir un sexe comme le maître si elle le veut… Sinon elle peut aussi changer les propriété de son lait.. El..elle peut changer le gout, le re..rendre dangereux ou aphrodisiaque. »

La jeune esclave se mordis un peu les lèvres baissant la tête, cela fait peu de temps qu’elle sais que son lait peu être dangereux, en fait depuis qu’elle a fallait tuer son ancien maître, mais elle ne l’avait pas vraiment fait exprès, il lui avait tellement fait peur…

« Miruku peu aussi lire dans les pensées et parler, mais elle ne le fait pas parce que c’est pas poli. »

La douce passivité de la jolie créature était parfaite au goût du vampire. Voilà une esclave à la gorge de laquelle prendre un repas ne serait pas compliqué et il appréciait ce coté peu farouche, mieux encore il l'avait choisie en grande partie pour ce coté de son caractère, cette docilité à toute épreuve qu'elle semblait posséder de nature.
Et tout en admirant le rouge monter aux pommettes il écouta l'esclave lui exposer en peu de mots la nature de ses dons. Et ce qu'il entendu lui fit froncer les sourcils et quitter l'air doux qu'il avait jusqu'alors... non pas que la possibilité qu'elle se laisse pousser un membre masculin ne le choque ou dérange mais par contre les qualités de son lait le firent tiquer... pouvoir l'empoisonner n'étant pas pour plaire au vampire !

-...la plupart des poisons n'ont aucuns effets sur moi, ou si peu que je ne risque pas d'en mourir mais avise toi jamais de m'y faire goutter et tu regretteras le jour de ta naissance, me suis-je bien fait comprendre esclave ?!? siffla t-il d'un ton froid.

Et comme pour appuyer ses dire ses doigts se refermèrent sur les fesses de Miruku en y laissant des marques rouges d'ongles. Il ne tenait pas à ce que la vachette le prenne pour un gentil petit maître qui la laisserait faire ce qu'elle voulait, non, avec lui elle avait intérêt à l'écouter et lui obéir en tout point !

-Maintenant que ce point est clair nous allons rentrer à mon auberge où je te trairais.. enfin tu me montreras la façon, et demain matin tu iras faire des courses pour tes vêtements et ta nourriture en attendant mon réveil en fin de journée, compris ?!?

Et il se mit à marcher vers son lieux d'habitation à nymphéa, tirant la laisse derrière lui tout en écoutant les réponses de son esclave et ses quelques gémissement quant elle marchait avec ses seins si douloureux qui tanguaient à son buste lors de chaque pas qu'elle faisait.

|hors RP : Jolis nouveau kit Miruku ^^]

https://erotica.forumactif.org/l-arbre-maison-f10/nouveau-maitrenouvel-habitat-t312.htm#2132

la suite ^^