Hooo la jeune vachette baissa doucement la tête elle n’aimait pas contrarier ces maîtres, mais elle se disait que la vérité ne pouvait pas faire de mal, il fallait qu’il sache ce qu’elle pouvait faire, qui sait il pourrais en avoir besoin… Genre pour éliminer quelqu’un qui le dérangerais, en fait la jeune femme n’aimait pas la mort, mais cela ne la gênait pas de la donner si elle devait le faire pour son maître.
« Oui maître. »
Bien sur qu’elle l’avait comprit, elle aurais voulut lui dire, qu’elle ne l’empoisonnerais jamais d’elle même, mais elle en savait pas vraiment parler, le maître avait dit ce qu’il pensait, elle pouvait seulement acquitter et il fallait mieux, elle n’avait pas envie d’être punie, parce qu’elle avait déjà assez mal a rester debout, avec sa poitrine, sans se faire en plus frapper. Une petite larme de douleur perla a ces paupières quand l’homme lui griffa les fesses, la jeune femme n’avais pas encore vraiment appris a retenir ces larmes, en fait, son ancien maître aimait quand elle pleurais…. Alors elle n’avait jamais apprit à retenir ces larmes… Pourvus que cela ne dérange pas son nouveau maître.
La traire, ho oui qu’elle plaisir, au moins elle n’aurait plus a souffrire autant. Aller faire les boutiques seules, elle n’en avait pas vraiment l’habitude son ancien maître achetait tout pour elle, mais bon elle avait appris a calculer et a toujours prendre le moins cher quand elle achetais pour elle, parce qu’elle n’avait pas le droit d’avoir des chose belle, ni des choses rare, cela elle le savait.
« J’ai ..j’ai ..comprit maître, mais pour me traire ce ..ce…n’est pas compliquer. Je suis certaine ..que.. que vous vous en tirez a merveilles. »
Il n’est pas facile pour la jeune femme de marcher, de suivre son maître, déjà qu’elle n’est pas bien grande, elle doit donc trottiner pour le suivre, en plus ces seins lui font un mal de chien, en sautillant a chaque pas … Elle sent un peu de sueur couler le long de son cou, signe que la douleur deviens de plus en plus difficile a supporter, pourtant a par des gémissants rien ne s’échappe de sa bouche.
Pourtant quand enfin elle aperçois l’auberge, un sourire naît sur ces lèvres, elle vas enfin pouvoir se débarrasser de cette chose qu’elle appelle un carcans et qui lui fait un mal de chien, en fait le fait même de porter un haut est une douleur pour elle, une torture, a chaque instant ces sein son écraser aplatit, torturer, mais elle supporte parce qu’elle sait qu’elle ne peu se promener nue… ce qui est bien dommage.
A la suite de son maître monter les escaliers, s’accrochant au mur pour ne pas vaciller, la douleur étant de plus en plus fort, sous ces vêtement rampe on pouvait voir les tétons du dresser, appellent le soulagement.
Doucement la jeune femme entra dans la chambre de son maître, observant les alentours, elle se dit encore une fois que le jeune homme devit être très riche, qu’il devait avoir une place envier dans la société…
Un instant lever son regard vers son maître, elle ne savait pas trop ce qu’il voudrait faire d’elle, non pas qu’elle avait peur, mais elle ne voulait pas faire de bêtise… Pourtant doucement elle posa un mains sur l’attache de son haut…
« Maitre permeter que .. que..que je me débarrasse de… de cette tenues souillée. »
D’un mouvement de la main la jeune femme la jeune femme défit son haut, laissant ces seins jaillir hors du tissus, la faisant grimacer un peu plus, ces seins plein, gorger de lait sautillant doucement. Un peu de lait coulant de ces tétons, signe qu’il était vraiment débordant, le liquide blc coulant le long de ces seins, cherchant a descendre jusqu'à son ventre…
le rouge au joue la jeune femme attendis que son maître lui permette plus, en fait elle avait déjà peur qu’il ne luien veuille parce qu’elle s’était dévêtue aussi vite… Mais bon elle n’en pouvait plus…