Achats Tardifs [Pv Lorelei]

Il conserva un long instant le corps tiède et souple de la créature contre le sien, appréciant le contact nerveux du corps fin qu'il pressait au sien plus dur et glacé. Mais le moment n'était pas -encore- à l'abus de contacts tactiles car la place du marché se prêtait pas à de plus amples découvertes. Entendant bien la déclaration de Lorelei il prit sur lui de conclure leur première et fugitive étreinte pour aller désormais se concentrer sur vêtir avec assez de tissus son esclave afin de l'isoler de la fraicheur nocturne.
Mais, ne voulant pas non plus délaisser une si belle occasion de juger plus en avant sur la caractère de sa soumise il ne la chassa pas immédiatement des replis de son long manteau. Non il préféra passer ses mains froides le long de l'échine douce et frémissante, provoquant un nouveau frisson de froid chez Lorelei avant de passer ses ongles fin et effilés tels des éclats de verre marquer sa peau si parfaite et délicate, laissant immédiatement un froid glacial recouvrir les marques comme une morsure de gel, grâce à une infime concentration de son pouvoir régnant sur le froid.

-Alors ? Allons donc t'acheter une jolie cape pour masquer tes formes à l'air nocturne, et prenons la ample afin que je puisse y glisser quelques autres contacts de la sorte.

Galamment il la poussa en avant et l'invita du geste à marcher vers les quartiers commerçants où se trouvait être la fameuse boutique de vêtements ouverte si tardivement. Le vampire laissait son esclave ouvrir la marche et le guider pour aboutir à un bâtiment doté de vitrines de verre teinté d'ocre et montrant quelques mannequins de bois portant diverses tenues aux riches couleurs chaudes.
Sans se presser ils y pénétrèrent et le vampire en profita alors pour revenir à la hauteur de Lorelei et lui souffler au creux du cou...

-Une grande cape large et chaudes où t'y cacher et où je puis y glisser mes mains glacées allez douce soumise va t'en donc trouver cela avant que je ne puisse me remettre à découvrir ton corps et couvrir ta peau de jolies arabesques glacées.

Lorelei, blottie contre son nouveau maître, profitait de cet étreinte. Elle ne bougeait pas et se contentait d’apprécier l’enlacement. A vrai dire, elle était contente car cela faisait maintenant quelques jours qu’elle n’avait pu se reposer ainsi dans les bras d’un homme. Cela changeait également du contact de la cage trop petite et de ses barreaux. Oh certes, plusieurs potentiels acheteurs étaient venus l’admirer, mais ces derniers n’avaient pas le pécule necessaire à son achat.

Néanmoins, elle avait froid et plusieurs frissons trahissaient cette sensation. Elle se raidit un peu lorsque son maître passa ses doigts froids le long de son échine. Puis, elle poussa un petit gémissement lorsque les ongles tailladèrent légèrement sa peau, gémissement mélé de plaisir et de surprise.

Gémissement qui recommença lorsqu’elle sentit un froid brutal sur ses petites entailles. Elle frissonna de plus belle en se blottissant un peu plus contre son maitre. Elle se dit alors qu’elle était bien tombée car Ulric avait l’air de maitriser l’art délicat de la douleur mélangé au plaisir.

Lorsqu’il lui posa la question, la voix douce de Lorelei lui répondit:

Merci mon maître. d’une voix reconnaissante.

Elle le conduisit alors à la boutique dont ils avaient parlé avant, marchant devant lui, car tel était son souhait. Elle avait vu d’ailleurs juste car le commerce était ouvert. Lorsqu’elle entra, le vampyr lui susurra ses désirs et Lorelei opina du chef.

Elle alla donc naturellement immédiatement chercher une cape grande et chaude, de couleur sombre puis revint vers Ulric en montrant le vêtement et en demandant d'une voix où le respect transparaissait :

Celle-ci conviendrait-elle, mon maitre ?

Ulric se félicitait mentalement de son choix, l'empressement qu'avait Lorelei à le satisfaire ne semblait pas connaitre de limites et ce fait attisait à la fois la curiosité du vampire à en sonder les frontières ainsi que son envie le plus pure et vicieuse d'en abuser sans vergogne. Mais pour le moment il tâchait de conserver une attitude se voulant neutre, il n'était pas homme à se mettre en spectacle devant les inconnus flânant à son alentour et il préférait de loin réserver ses débordements d'humeurs phallique à la plus stricte intimité.

...même si ça ne l'empêchait pas de quelques fois gratifier ses esclaves d'élans un peu plus charnels quant il avait l'occasion de le faire sans se faire réprimander par la morale générale. Non pas qu'il veuille demeurer propre à son image mais il avait un statut prestigieux et ne pouvait donc pas tout s'autoriser en se moquant des conséquences.

Et justement quant l'esclave revint avec la cape demandée il n'y avait que bien peu de monde alentour. Il était tard et le magasin pour tout ouvert qu'il soit ne voyait pas vraiment de nombreux clients déambuler entre ses produits. Les vendeurs eux-mêmes semblaient s'être enfuis mis à part un qui somnolait à moitié au comptoir, surveillant d'un œil morne ce qui se passait dans la boutique quant il ne s'assoupissait pas quelques minutes.
Aussi quant la créature -désirable- revint avec le vêtement demandé par Ulric se dernier s'en saisit et, dépliant l'étoffe épaisse, la passa lui-même sur le corps de sa soumise, lentement, prenant soin s'attarder ses mains encore froide sur la peau chaude de Lorelei, venant presque déranger sa poitrine contenue dans la petite bande de cuir l'enserrant avant de griffer sans douleur aucune la finesse de ses hanches puis le galbe de ses cuisses.

Le vêtement faisait une sorte d'ample et long poncho mexicain pour ce qui était de sa coupe, mais dans un tissu à la fois fin et chaud, étonnamment léger pour la façon dont il isolait du froid. L'étoffe était cousue de mains de maître et avait la teinte sombre d'une nuit de pleine lune, d'un dérivé de bleu profond si foncé qu'il en paraissait noir à force de le fixer des yeux.

-Elle est parfaite, c'est ce que j'imaginais en effet, et si elle te protège efficacement du froid alors nous la choisirons... commenta le vampire en venant contre sa soumise.

Là il passa ses mains sous le tissu et vint attarder ses doigts sur les seins de l'esclave, les libérant du minuscule vêtement les cachant et se mettant à en griffer les pointes jusqu'à les faire darder sous le tissu. Puis il fit choir 5 de ses doigts entre les cuisses de Lorelei pour visiter avec la même audace l'intérieur de ses cuisses, griffant cette fois sans retenue la peau délicate et sensible de cette partie douce du corps féminin avant de transformer la brusquerie en délicates caresses une fois remonté au trésor féminin que la créature possédait en sa croupe et dont il frôla les lèvres intimes...

-C'est parfait, nul ne peut prédire ce que font mes mains si je les glisse sous ce vêtement n'est ce pas ? Garde bonne contenance Lorelei, je ne veux pas que l'on devine ce qui se passe sous ta cape ! murmura t-il ensuite à son oreille.

Et comme pour le mettre au défis de demeurer impassible en apparence il vint presser ses doigts contre la douce fente marquant l'entrée aux plaisirs charnels que cachait la féminité de sa soumise, sans relâcher une seule seconde les caresses dont il agaçait encore un de ses tétons plus haut sur le buste de sa servante.

Lorelei présenta docilement la cape choisie en espérant secrètement que ce fut l’objet du désir de son nouveau maitre. Il était vrai que l’étoffe sur laquelle la soumise avait porté son choix était de très bonne facture. Elle semblait avoir été cousue à la main par un artisan expérimenté qui devait être tatillon au point de parfaire tous les petits détails de la cape.

Le tissu à la fois léger et chaud convenait parfaitement à la saison et à la tenue assez dépouillée que l’esclave aimait arborer. Elle baissa alors la tête en signe de respect tout en présentant l’étoffe à son maitre.

La réaction de ce dernier fut celle attendue. L’esclave avait bien choisi et un peu de rose empourpra les joues de Lorelei, fière d’avoir fait plaisir à ce dernier en choisissant ce qu’il avait demandé.

Elle sentit alors le contact du nouveau tissu sur sa peau encore fraiche et se laissa docilement faire lorsqu’Ulric lui passa autour de son corps fin.

Elle ne bougea pas en attendant le prochain ordre mais au lieu de cela, le maitre préféra passer ses mains en dessous de la cape pour venir lui griffer violemment les seins, tout en descendant la petite lanière qui lui servait de soutien-gorge.

Elle se mordit alors la lèvre pour ne pas gémir et le mélange de douceur et de douleur qui se dégageait du contact des doigts fins et froids du maitre sur la peau de Lorelei la faisait chavirer un peu plus à chaque instant dans un bonheur immense.

Les doigts du maitre se firent osés et vinrent caresser ensuite l’entrejambe de la soumise qui réprima un petit cri tout au fond d’elle alors que les griffures sur son intimité lui procurait une petite douleur. Puis encore une fois la douleur devint douceur et elle sentit son intérieur devenir un peu plus humide.

Elle avait bien compris le jeu et bien qu’il n’y ai qu’un seul vendeur présent, s’y prétait volontiers, tentant de ne pas décevoir son nouveau maitre.

La lèvre devint un peu plus mordue pour ne pas réprimer de petits cris fâcheux, d’une part pour la réputation de son maitre et d’autre part pour elle.

Il confirma alors ce que Lorelei avait déduit en paroles et l’esclave opina du chef tentant au possible de paraître le plus naturel et décontracté possible.

Mais elle sentit la main de son maitre venir se plaquer contre l’entière surface de son intimité et se dandina quelque peu, essayant de garder ses mouvements invisibles à l’extérieur, cachée sous sa cape.

Elle commença à avoir un peu chaud. Etait-ce la cape ou bien le traitement de son maitre ? Un peu des deux sans aucun doute...

Elle tentait de rester impassible et immobile, se regardant dans le miroir présent non loin d’où ils se trouvaient puis vint finalement, au détour d’un regard, plonger ses yeux dans celui de son maitre.

Ce n’est pas que Lorelei ne maitrisait pas ses pouvoirs, mais cette dernière était un peu décontenancée. C’est ainsi que la douceur hypnotique s’appliqua entre les deux regards. Ce pouvoir était très simple. Ulric devait maintenant ressentir quelque chose de particulier. Comme s’il avait croisé une jolie fille dans la rue qui l’avait marqué. Le sentiment éprouvé était assez semblable à un coup de foudre sans les effets secondaires. Pour résumer, le regard de Lorelei avait du le marquer. Ce petit instant si éphémère soit-il, transpirait le bonheur et son souvenir était marquant.

Finalement, Lorelei détacha son regard de celui de son maitre et baissa les yeux en murmurant:

Je suis désolée

Le "jeu" semblait délicieux à l'esprit pervers du vampire. Et le fait que Lorelei sembla en approuver les règles et tente de s'y conformer ne rendait l'expérience que plus excitante ! Dès lors le but ultime du vampire était de la faire perdre et crier assez haut son plaisir pour réveiller le vendeur somnolant un peu plus loin, ou faire venir un passant de la rue mitoyenne... Et tant pis pour son prestige social qui en fait pourrait le reconnaitre ici ?!? Qui connaissait le visage d'un des dirigeants de Roche sang parmi les habitants de Nymphea ?

Il s'amusa donc à venir écarter les lèvres intimes de la créature pour le simple plaisir coupable de frotter le bout de son index à ses chairs douces et rosées marquant l'entrée de son paradis féminin. Découvrant cette magnifique partie de la féminité de Lorelei le buveur de sang s'amusa à en apprécier le contact, à en frôler les chairs sensibles puis, enfin y pressa le bout de son index contre l'entrée de sa vulve pour délicatement venir écarter les parois vaginale de sa soumise alors qu'il enfonçait son doigt en entier le faire frotter et bouger en elle.

C'est très bien Lorelei, continue à faire comem si de rien n'était c'est...

Et ses mots se turent dans sa gorge quant il croisa le regard de son esclave... un frisson le prit à travers tout le corps, suivit d'un soupir idiot mais délicieux qu'il ne comprit pas. Mais pourtant il se sentit planer une seconde d'éternité, comme si un orage venait de le frapper et de remettre son cœur à battre, une unique fois mais avec assez de force pour le faire se sentir... différent, vivant, heureux, comblé. Et tout cela en une seconde à peine, le temps d'un regard.
Il n'entendit même pas l'excuse de Lorelei, murmuré alors qu'elle baissait les yeux. Non en lieux et place de cela il lâcha sa poitrine pour remonter sa main au visage de la belle et la faire le regarder, se penchant sur elle pour l'embrasser avec envie et fougue, lui dévorant la langue de petites morsures et de délicats suçons. Et entre les cuisses de l'esclave la main d'Ulric se mit à dessiner milles petites caresses le long de sa fente humide alors qu'un de ses doigts, toujours enfoncé en elle, frottait de part et d'autre aux parois de son intimité selon les mouvements dont il gratifiait la féminité de la créature.

-Douce Lorelei voit comme j'ai envie de toi maintenant !

murmura t-il en arrêtant une seconde la baiser et en attrapant le poignet fin et fragile de sa soumise pour guider sa main douce et chaude contre le bosse virile qui déformait son pantalon en cuir et semblait appeler en toute hâte à ce que l'on place de nombreuses caresses sur sa personne, voir qu'on en libère l'origine des dessous du vêtement...

Lorelei n’avait pas vraiment voulu se servir de son pouvoir mais le résultat était là. Son maitre devenait de plus en plus entreprenant, semblant avoir oublié leur jeu et l’univers, même assez pauvre en individus, qui les entouraient.

Cela ne déplut pas à l’esclave, bien au contraire, qui appréciait follement ce genre de situation que les bien pensants qualifieraient d’inappropriée.

Elle émit néanmoins un petit cri, brisant le silence conventionnel de la situation, lorsqu’elle sentit un doigt s’introduire en elle et malaxer son intérieur délicatement. Elle mit immédiatement la main sur la bouche de honte, mais son maitre ne semblait pas avoir entendu la faute de l’esclave, du moins ne semblait pas s’en formaliser outre mesure.

Non, au lieu de cela, il abandonna sa poitrine qui reprit sa taille normale, non enserrée dans cette lanière de cuir dont elle était maintenant débarrassée, pour venir remonter jusqu’à son visage et lui tenir le menton. Le baiser, aussi surprenant qu’inattendu, vint ensuite. Cette sensation était divine. Le doigt en bas, et la langue en haut, mais la constante des deux endroits était une forte humidité.

Lorelei poussait maintenant des petits gémissements et se dandinait de manière éhontée et visible au vu et au su de tous. Qu’importe, son maitre était heureux et les yeux de l’esclave brillait eux-aussi en contemplant la joie sur le visage d’Ulric.

Elle constata, suite à l’invitation de son maitre, qu’en effet, il était tout décidé à passer à l’acte maintenant et ici.

Elle contempla la bosse tout en sentant le travail en elle du doigté expert de son maitre qui faisait fondre son intérieur plus rapidement qu’un quelconque réchauffement climatique faisant fondre des neiges qu’on pensait éternelles.

Elle dirigea alors sa main vers l’entrejambe d’Ulric et se saisit de sa bosse tout en la caressant d’un doigté expert lui aussi, à travers le tissu du pantalon. Elle caressait du bout des doigt et de bas en haut, puis la main lâcha l’entrejambe pour venir dessiner des cercles concentriques dont le centre était la bosse.

D’une main experte, elle fit sauter les boutons du pantalon en cuir servant de braguette, afin de libérer le plein potentiel du membre de son maitre et vint y glisser une main aventureuse et éhontée qui caressait maintenant rapidement la bosse simplement retenue par le tissu fin d’un boxer.

Elle ne pouvait pas se baisser, du fait du doigt de son maitre, afin de joindre sa bouche à sa main pour ce traitement mais enfourna finalement ses doigts en passant l’élastique pour venir toucher la chair sans quelconque barrière frustrante.

Elle prit alors à pleine main le membre qui ne demandait qu’à être libéré de cet ultime carcan pour venir le caresser doucement, s’attardant su le dos de cet instrument de plaisir, le branlant doucement, le décalottant parfois.

Elle n’attendait maintenant qu’un signe de son maitre pour libérer complètement son sexe et venir le travailler à l’air libre et de ce fait plus savamment et plus ardemment...

Ulrick ne savait pas trop ce qui lui était arrivé pendant cette langoureuse seconde l'ayant électrisé plus que tout autre moment dans sa vie mais le bref regard échangé avec Lorelei avait éveillé en lui un sentiment de douceur puis une violente envie charnelle, de celle qu'il ne pouvait ni même ne voulait seulement essayer de contrôler. Il était maintenant fiévreux et se laissait entièrement aller à ses pulsions tant ce sentiment de se laisser porter par ses gestes était grisant.
Il n'hésita pas à aller ouvertement découvrir l'intimité lisse de sa soumise dans de telles conditions, et si le jeu tenait encore entre eux il n'en punit pas la créature de gémir tant qu'elle essayait de se retenir au maximum. Et puis de petits cris étaient tellement doux et excitant à entendre qu'il ne pouvait décemment s'en plaindre !

Fort heureusement devant eux le vendeur somnolait trop profondément pour s'éveiller facilement. Su certain petits gémissement étouffé lui faisait lever une paupière il replongeait aussitôt dans les bras de Morphée sans même noter ce qui se passait non loin de lui.

-Chuuut fais moins de bruit !

Puis il lui vola ses lèvres donc pour lui étouffer ses gémissements dans un baiser possessif et sauvage, commençant à réellement masturber son intimité pour mieux la sentir réagir à ce traitement en mouillant de plus en plus. Puis il guida la fine main aux doigts agiles de Lorelei contre le bosse qui déformait violemment son pantalon de cuir et la laissa deviner ce qu'il convenait qu'elle fasse...
Et l'esclave ne mit pas longtemps à comprendre, commençant à caresser la verge de son maître par dessus le vêtement elle finit par rapidement ouvrir ce dernier puis à encore passer sous le sous-vêtement du vampire pour découvrir le membre qui se dressait d'envie pour elle. À peine posa t'elle ses doigts tièdes contre la peau douce et fraiche de cette érection qu'Ulrick frémit tout en continuant le baiser, sentant sa virilité se tendre encore plus sous le contact délicat de la main de sa soumise.

Et cette dernière n'était pas ingénue ! Avec doigté elle commença à caresser la verge qu'elle tenait en main, provoquant de délicieuses sensations le long de la hampe de chairs dures alors que le maître continuait une caresse de plus en plus intrusive et empressée le long de son intimité et également plus profond entre ses lèvres intimes.

Puis, comme pour répondre en silence à la demande que l'esclave n'avait pas posé, il alla de lui-même baisser son dernier vêtement, exposant sa virilité à l'air libre et surtout permettant ainsi à Lorelei de mieux "prendre en main" la "situation".
Il continua par la suite à la caresser, venant murmurer à l'oreille de la créature une fois le baiser terminé...

-Et bien Lorelei, tu as bien du mal à demeurer calme me semble t-il, tu as envie autant que moi de changer de jeu ? susurra le vampire d'un voix mielleuse d'envie...

Et pour ponctuer sa phrase il retira son doigt de l'intimité chaude de la soumise et vient chercher son clitoris en haut de ses lèvres intimes, une fois trouvé il s'amusa à le caresser et masser, le faisant gonfler de désir avant de la pincer et de lui mettre une chiquenaude qui dut envoyer une belle décharge électrique de douleur et de plaisir dans les hanches de l'esclave.
quant à la prendre ici même, ça revenait de plus en plus dans le devant des pensées d'Ulrick...

Comme pour répondre à la supplique silencieuse de l’esclave, Lorelei vit Ulric baisser de lui-même le dernier rempart à son sexe gonflé, qui une fois sa liberté retrouver, prit sa véritable taille. Lorelei remua alors son bassin de désir et ses deux mains plongèrent en même temps vers l’objet de son désir.

La première main commença à masser les testicules de son maitre, tantôt caressant tantôt griffant légèrement tout en imprimant un petit mouvement circulaire. La deuxième main, quant à elle, vint continuer son travail sur la verge dressée, en caressant délicatement de la paume ou du dos de la main, le revers du sexe du monsieur.

Délicatement, sans a coups, le petit ballet commença.

Elle gloussa légèrement à l’invitation de son maitre et retint un petit gémissement lorsque ce dernier se retira de son intimité, la laissant humide, chaude et dégoulinant quelque peu le long de ses cuisses. Elle se mordit la lèvre lorsqu’elle sentit les caresses sur son bouton devenu gonflé sous ce traitement.

Par contre, elle laissa échapper un petit cri lorsqu’elle ressentit une forte tape, lui provocant un courant électrique, si bon...

Les mains de l’esclave s’activaient toujours autant. Lorelei pressait maintenant les testicules, doucement, et son autre main avait pris l’entière mesure de la situation alors qu’elle comprimait maintenant délicatement la verge dressé.

Des mouvements de bas en haut le long du membre dur avaient maintenant fait place au traitement. Puis, la deuxième main vint rejoindre la première, délaissant quelque peu les testicules pour se concentrer sur le sexe dur à deux mains d’Ulric.

Les deux mains caressaient, serraient délicatement, décalottaient parfois, et branlaient en rythme qui augmentaient légèrement, chaque changement étant savamment dosé par expérience de l’esclave.

Elle aurait voulu allier sa bouche à ses mains mais pour l’instant, elle n’en faisait rien. Elle murmura finalement:

Maitre, énoncez les règles d’un nouveau jeu, et j’obéirais.

Desolé d'avoir si affreusement longtemps déserté ce RP mais ce week end encore une amie a squatté ma demeure xD

Alors que Lorelei continuait de faire papillonner ses doigts le long de la verge tendue de son maître ce dernier sentait un vif désir de luxure embraser ses reins et nourrir son excitation charnelle. Son membre fièrement tendu lui arrachait des soupirs de plus en plus rapprochés alors que la soumise transformais les caresses légères en un attouchement plus osé, refermant ses doigts graciles et fins autour de la hampe de chair pour débuter un mouvement tout le long de sa virilité, décalottant son gland gonflé d'envie puis faisant coulisser la peau pâle le long du membre, le masturbant avec une envie visible et qui fit sourire le vampire quant elle y adjoint sa seconde main.
De même les paroles de Lorelei eurent une résonance toute particulière dans l'esprit de son maître... Elle ne faisait en fait rien de moins que de demander une suite plus intéressante, tant grande était devenue son envie de satisfaire son corps chaud et humide depuis qu'Ulric en avait visité les recoins à l'aide de ses doigts.

-A genoux devant ton maître Lorelei !

Oui il allait en effet jouer à un autre jeu, mais sans forcément laisser la créature faire ce qu'elle désirait. À peine eut-elle obéit et posée genoux à terre face à lui qu'il lui saisit les cheveux et les lui tira asses vivement pour plaquer ses lèvres contre sa virilité.

-Si tu me mords par inattention je te le ferais regretter !

Et sans pitié ni attente il força l'accès à la bouche de l'esclave, la forçant à engloutir toute la longueur de son membre, gémissant en sentant les lèvres de la soumise toucher son pubis et ses bourses alors que son gland frottait au fond de sa gorge.
Délicieuse sensation que celle-ci, qui le poussa à intimer à Lorelei un mouvement de va et vient saccadé, autant en lui imposant le geste par le fait qu'il lui tirait les cheveux que par de petits coups de bassin donnant l'impression qu'il usait de la bouche de la créature comme d'un autre orifice, haletant sous l'effort demandé pour ainsi la brusquer mais avant toutes choses sous le plaisir de cette Fellation non pas offerte mais infligée de force, que Lorelei l'accepte ou non.

-Hum tu a la bouche et la langue toutes douces !!! Et toutes chaudes Lorelei !

Et sous cette appréciation il Relâcha un peu les cheveux, ou du moins tira moins fort dessus pour imposer son rythme, vérifiant que son esclave avait bien comprit sa tâche et continuait d'elle-même de s'étouffer lentement en avalant la verge épaisse du vampire jusqu'au fond de sa petite gorge.