Elfe à vendre... [PV : Auria]

Messages : 17 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 32

L'Elfe était assis par terre, au milieu d'autres esclaves. Ils étaient à Roche-Sang, ville peuplée presque exclusivement de créatures Nocturnes. Et pour cause : il y faisait toujours nuit. Enoriel avait perdu la notion du temps, il ne pouvait dire depuis combien de temps il était ici. La seule chose dont il était sûre était que ça faisait plus d'un jour, et que le soleil refusait obstinément de se lever. Il avait eu du mal à s'habituer à l'obscurité permanente, il n'avait jamais vécu de cette manière. Il finit par s'y habituer.

Enoriel était assis et enchaîné, au milieu d'autres esclaves, de tout sexes, races et âges confondus... Le marchand était un gros homme richement habillé à la figure ingrate. Bien que lui appartenant, Enoriel lui vouait une haine profonde. C'était un escroc, il pratiquait des prix exorbitant en vantant de faux avantages. Il vendait régulièrement de jeunes filles qu'il disait vierges bien qu'il les ai violé plus tôt... L'Elfe avait été vendu et revendu à de multiples reprises suite à son départ de chez son dernier maître. Il avait changé de maître régulièrement ces derniers jours : les marchands d'esclaves se le rachetant les uns après les autres, si bien qu'Enoriel cru ne jamais devoir être acheté pour un plus long terme.

Ils se trouvaient dans la rue marchande de Roche-Sang, sans doute le meilleur endroit pour écouler ses esclaves. Les Nocturnes étaient, paraît-il friands d'esclaves, ainsi le marchand à qui appartenait Enoriel prépara une expédition dans cette ville après s'être fait un stock d'esclave en vu des plus beau bénéfice. Malgré l'obscurité un certain nombre de gens traversait la rue de haut en bas et de bas en haut, beaucoup avaient forme humain. La rue était pleine de marchands de tous poils. Comparés au maître d'Enoriel, les autres marchands d'esclaves faisait pâle figure. Tous disposait d'esclave pour la plupart vieux, mal bâtis et en mauvaise santé. Sans doute les esclaves du gros homme ne devait leur relative vitalité qu'au fait qu'ils était à Roche-Sang depuis seulement quelques jours...

Les esclaves et leur maître attendaient depuis un certain temps, et, d'autant qu'il pût en juger, Enoriel pensa que son maître du moment ne tarderai pas à rembaler avant d'alloer trouver une auberge...

Auria se baladait au marcher d'esclave, cherchant une nouvelle victime... Elle trouvait de tout et ne s'intéressait pas a la personne au physique et au sexe... Mais seulement a l'odeur. L'odeur de leur sang... Elle croisa son vendeur préféré niveau esclave... Sinon pour elle se n'était qu'un vulgaire enfoiré de la pire espèce. N'empêche que elle l'aimait bien, elle utilisait ses charme sur lui pour avoir des réductions...

"Tu as quoi aujourd'hui ?"

Sur ses mots, l'énorme personnage sourit montrant ses dent en affreuse et en or. Répugnant pour la jeune femme puis regarda les esclaves un a un et les sent. Certains était infecte, d'autre ne sentait rien de bon, leur sang n'était pas attirant. Après avoir fait la première rangé de femme elle s'avança vers les hommes en s'arrêtant vers un homme tête baisser. A en voir au premier coup d'oeil il s'agissait d'un elfe, a la belle chevelure blonde et au magnifique yeux. Sur le cou je ne put m'empêcher d'interpeler le vendeur.

"Lui. Combien ?"

Sur un ton sexy pour essayer d'avoir une baisse sur son prix. L'affreux pervers s'avança et lui toucha les fesses. Elle le fixait malgré tout, puis elle leva sa jambe pour la poser sur le banc tout en restant très proche de lui. Cette technique marchait a chaque fois mais dégoutait plus que tout le demoiselle.

"200 000 YeR$ de bronze... Pas plus pas moins."

Elle sortie les pièces tira le jeune par la chaîne et le traîna hors du marcher et fini par soupirer a cause de cette arnaque.

"Quel horreur il me dégoute..."

Elle observa son esclave. Il était sexy et plus grand qu'elle. Auria l'avait choisit pour son sang qui avait l'air délicieux. Son étrange beauté et ses mystère. Bref... Beaucoup de chose attirante a son gout.

"Qu'elle est ton nom.. Elfe. Sache qu'a partir de maintenant mes désir son des ordres... Compris ?"

Elle prit son visage dans ses mains avec douceur mais toujours en ayant le sang froid selon sa propre nature et le fixait.

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Une femme approcha du stand, ce qui tira Enoriel de sa rêverie. Elle fit un tour dans les rangs des esclaves mis debout pour l'occasion. Elle semblait tous les examiner un par un. Puis elle s'arrêta devant Enoriel.

"Lui. Combien ?"

Elle avait prix une voix des plus charmeuse pour poser cette question. L'abject personnage s'approcha et se permit de tripoter la jeune femme. Elle s'écarta tout en gardant une position... suggestive.

"200 000 YeR$ de bronze... Pas plus pas moins."

Le prix résonna dans sa tête et le tira de sa rêverie. 200 000, jamais il n'aurait imaginé un tel prix pour lui, il ne les valait très certainement pas. Il leva son regard et vit une jeune femme fort pâle dans une position pour le moins aguicheuse qui discutait avec le gros homme. Elle portait un drapé noir, une chevelure blanche et abondante et des yeux de rubis... Lorsqu'elle parlait Enoriel pouvait distinguer la protubérance de ses canines.

*Une Vampire... * conclue-t-il avec étonnement.

Il comprit que la jeune femme s'intéressait à lui. L'Elfe était à la fois flatté que le dévolu d'une si charmante créature fut jeté sur lui, et effrayé : les Vampires n'étaient pas réputés pour leur douceur et leur clémence.

Puis la jeune femme paya et le marchand empocha la somme qu'il rangea dans une de ses poches. Il détacha l'Elfe et le confia à la Vampire, suite à quoi l'esclave et sa nouvelle maîtresse firent quelques pas.

"Quel horreur il me dégoute..."

Au moins ils avaient un point commun. Enoriel était pour le moins ravi de quitter cet odieux personnage, bien qu'éprouvant quelques remords en pensant à ses compagnons d'infortune, mais après tout, qu'y pouvait-il ?

La Vampire examina sa nouvelle acquisition de la tête aux pieds. Puis elle prit le visage de son esclave entres ses mains avec une certaine douceur ce qui eu pour effet de le troubler quelque peu. Enoriel cru percevoir un sourire paraître aux coins des lèvres de celle qui était à présent sa maîtresse, mais il n'aurait pu dire s'il s'agissait d'un sourire attendri, amusé ou encore cruel. Peut-être bien les trois...

"Qu'elle est ton nom.. Elfe. Sache qu'a partir de maintenant mes désir son des ordres... Compris ?"

"Je me nomme Enoriel, Madame, Enoriel Aldmær s'il vous plaît de connaître mon nom de famille. Sachez que je vous suis à présent parfaitement dévoué, que je ferai mon possible pour ne pas vous déplaire"

Enoriel s'inclina en une gracieuse révérence en prononçant sa réponse. Il espérait profondément de pas décevoir sa récente maîtresse, il ferait tout pour que tout se passe pour le mieux.

"Sauf votre respect Madame, permettez-moi une question : comment préférez-vous que je vous appelle ? Madame ? Maîtresse ?"

Il se redressa en formulant sa question. La Vampire l'observait toujours, mais l'Elfe était à présent persuadé que sa maîtresse souriait...

Le voit se redresser.

"Auria-sama... Tout simplement, j'aime tes manière Enoriel, sois sage et suis moi."

Auria claqua des doigts et l'emmena chez elle non loin du marcher qu'elle fréquentait de temps en temps pour trouver des victimes et de leur vidé de leur propre sang. D'autre servait de lèche botte et les favorisé avait le droit a des avantages qui pour le moment reste secret et entre l'esclave et sa maîtresse.
Elle ne le fit pas prier, une fois chez elle et lui caresse encore une fois la joue.

"Qu'es tu prêt a faire pour moi ?"

Elle souriait sadiquement ne sachant pas trop quoi lui demander pour le moment, elle n'attendait pas de réponse pour le moment. Auria se rapproche et fronce les sourcils, elle enleva ses liens, puis lui attrapa la mains et l'emmena dans une pièce un peu sombre a l'odeur de sang. Si agréable soit il mais elle pensa avant tout a ne pas effrayer sa créature a elle et le réconforta.

"Ne t'inquiète pas je ne te ferais aucun mal..."

Elle continua a marcher dans le fond de cette pièce, ne le lâcha toujours pas.

"ici se sera notre secret. Se sera ta chambre..."

A peine sa phrase fini, elle le lâcha et se retourna pour rougir dans cette pénombre. Auria ne voulais pas lui cacher certaines choses et lui dit.

"Je suis marier tu sais... Je suis stérile, n'aurait pas d'enfant. J'aime mon mari et pourtant sa ne m'empêche pas de le tromper. Serais tu prêt a tenir se secret pour toi ?"

Elle se retourne de nouveau vers lui et l'embrasse, avec douceur, lenteur. Elle le fixait de ses yeux rouges, et décida de lui donner un ordre en sachant très bien que quoi qu'il arrive il devait obéir a sa volonté et a l'ordre absolue de sa maîtresse.

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Ils quittèrent le marché, et marchèrent un peu, le lieu où résidait la nouvelle maîtresse d'Enoriel ne se trouvait pas bien loin du marché. Ils furent vite arrivé. A la maison, elle lui caressa la joue avec une douceur réconfortante et peu courante parmi les gens de son peuple, et lui adressa la parole.

"Qu'es tu prêt a faire pour moi ?"

Elle posa cette question avec un drôle de sourire avec un air indécis. Mais avant qu'Enoriel eu le temps de répondre, Auria s'approcha, ôta ses fers à l'Elfe, lui prit les mains et le guida dans une pièce à l'écart. Enoriel mit un peu temps à s'habituer à la pénombre. Ils continuèrent à marcher dans cette pièce, vers le fond, sans qu'Auria ne lâche les mains d'Enoriel.

"Ne t'inquiète pas je ne te ferais aucun mal..."

La Vampire avait dis ça comme pour le rassurer, et il y avait lieu d'être effrayé en entrant dans cette pièce : une légère odeur de sang flottait dans l'air, ce qui eu pour effet de perturber l'Elfe.

"ici se sera notre secret. Se sera ta chambre..."

Elle se retourna et poursuivit.

"Je suis marier tu sais... Je suis stérile, n'aurait pas d'enfant. J'aime mon mari et pourtant sa ne m'empêche pas de le tromper. Serais tu prêt a tenir se secret pour toi ?"

Elle se tourna vers lui et l'embrassa. Puis elle s'arrêta, et le fixa. C'est le moment qu'Enoriel choisit pour répondre.

"N'ayez pas d'inquiétudes, je peux être muet comme une tombe. J'ai déjà vécu cette situation, je sais donc agir en conséquence. Je vous ai également juré fidélité, et vous ai fais part de ma volonté de ne pas vous décevoir, aussi j'accéderais à vos désirs quels qu'ils soient."

Ils se trouvaient à présent face à face, dans la chambre, à se fixer. Depuis qu'ils avaient quitté le marché un question brûlait Enoriel. Il trouva le moment approprié pour la poser.

"Permettez-moi encore une question Auria-sama. Pourquoi m'avez choisit ? Il se trouvait à mes côtés d'autres esclaves qui disposait sûrement de mes qualités, et à des prix moins élevés que le mien. Qu'est-ce qui vous a fait me choisir ? "

Mana mit du temps avant de lui répondre et de trouver une réponse convenable a lui servir. Elle se mit a sourire, le premier depuis leur premier rencontre.

"Mon chère Enoriel. Il y a des choses en se monde que l'on ne peux comprendre ou expliquer. Mais si tu veux vraiment savoir pourquoi vas y... demande moi."

Elle lui caressa la joue, lui faisant relevé un peu la tête face a elle. Elle le prit par la mains et l'emmena dans une pièce secret. C'étais ici, avec qui elle prenait un malin plaisir a trompé son mari. C'était un petit appartement, un peu spacieux et lumineux, chose que son mari détestait ce qui l'arrangeais pour y cacher des choses. C'était pas le premier a prendre place ici, dans cette endroit assez charmant, avec une décoration classique, c'était sympa pour un esclave de se retrouver dans un 2 pièces. Il devrait s'estimer heureux.

"Voici ton appartement privé dans lequel je te rejoindrais ou te demanderais des choses. Garde cette appartement propres et ne fait pas de bêtise."

Elle avait l'impression de lui parler comme un enfant, Mana était certes un peu plus âgé elle ne put s'empêcher de sortir quelques formalité comme a son habitude avec ses nouvelle recrut. Elle s'approcha de lui, son sourire était mesquin, collant presque sa tête dans son cou et se mit a lui murmurer à l'oreille.

"Que dirais tu une visite guidez ? On va commencer par la chambre..."

Elle le tira par la manche. Le guidant vers le lit. Une fois arriver dans la pièce, elle ferma la porte a clé se disant que cette visite sera longue.

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Ils étaient à présent plus proche encore. Mana continuait de l'examiner, tout en le caressant. Enoriel se rendit compte à ce moment qu'elle était légèrement plus grande que lui. Elle lui prit la main et le guida vers une pièce lumineuse, qui contrastait avec le reste du domaine, richement décoré et assez grande.

"Voici ton appartement privé dans lequel je te rejoindrais ou te demanderais des choses. Garde cette appartement propres et ne fait pas de bêtise."

Ainsi c'est ici qu'allait loger l'Elfe. Jamais il ne se serait attendu à se retrouver dans un appartements aussi luxueux, raffiné. Après tout il n'était qu'un esclave, qu'est-ce qui pouvait pousser Mana à choyer autant Enoriel ?

Le ton qu'emprunta Mana pour lui annoncer qu'il logerait ici l'amusa. Elle lui parlait comme à un enfant. Elle lui énonça encore quelques règles de bonne conduite. Puis elle se tut et se mit à sourire, un sourire sadique, puis approcha son visage, le plaça au niveau de la gorge de l'Elfe et lui murmura :

"Que dirais tu une visite guidez ? On va commencer par la chambre..."

L'attitude, le ton et les manières de Mana à cet instant troublèrent Enoriel. IL ne sut s'il devait la craindre ou non. Sans lui laisser le temps de répondre, elle l'attrapa par la manche et le mena vers une pièce un peu en retrait, surement la Chambre.

Une fois dans la pièce Enoriel put observer le lieu : la pièce était décorée avec raffinement à l'instar du reste de ses appartements, mais était légèrement plus sombre. Alors que l'Elfe était occupé à examiner la pièce, il entendit le bruit du loquet dans son dos. Mana venait de fermer la porte à clé. Il se retourna alors et vit Mana ranger la clé, en continuant de sourire.

Enoriel à ce moment, mais comme beaucoup de fois depuis qu'il avait été acheté par Mana, fut divisé entre plusieurs sentiments. D'abord la peur : lui était un Elfe fragile et elle une Vampire dôtée de la soif qu'on leur connait. D'un autre côté, ils étaient chez elle, aussi n'avait-elle nul besoin de prendre soin de fermer la porte... Puis Enoriel commença à comprendre, des idées lui vinrent, mais il préféra ne rien faire : peut-être se faisait-il seulement des idées, et il aurait été malvenu d'agir de manière déplacée avec sa nouvelle maîtresse. Il ne dit rien et attendit de sa maîtresse qu'elle continue à le mener comme elle l'avit fait depuis le début, peut-être Enoriel commençait-il à y prendre goût...