Une marche sans fin ? [libre]

Les secondes, les minutes, les heures, les jours et les mois se transformant en année était devenu long et sans fin pour Sven. Il ne sait pas depuis combien de temps il est sur cette route. Il avait traversé plaine et forêt et même désert… Bref il se faisait une petite balade suite un à petit événement mineur de sa vie. Mais par chance aujourd’hui il faisait bon vivre, le soleil brillé, le ciel bleu, une petite brise, en gros l’environnement paisible avec personne et rien à des kilomètres à la ronde sauf… la nature… la verdure.

Enfin bon la route était dégagée, sec, dur… pratique pour reprendre la route … pourquoi reprendre ? Sa fait pas loin de vingt-trois heure qu’il marchait sans s’arrêter, même pas pour manger, sauf bien sur pour certaine chose ou on n’avait pas le choix de s’arrêter, voilà enfin ne nous éloignons pas du sujet.

Vu l’inclinaison du soleil, il n’était pas loin d’être dix-sept heure et… la fatigue commençait légèrement à se faire sentir et à peser surtout. Habiller de son grand manteau noir comme le reste de ses habille qui avait bizarrement la même couleur plus ou moins foncé portant un masque blanc sur le visage avec quelque couleur dessus sous différente forme. On pouvait voir une partie de son épée qu’il porté dans le fourreau en grande parti caché par son manteau ouvert. Il s’arrêta de marcher, se trouvant sur une petite colline. De la haut, il y avait une magnifique vue, il balaya la zone de son regard caché derrière son masque.

A première vue, il n’y avait aucun signe d’âme qui vit ici, il semblait être le seul être humanoïde à être ici de plus, il n’y avait aucun village en vu, ni feu de cheminé se levant dans le ciel. Qu’elle désespoir et il n’avait plus de vivre sous la main… mais il n’avait pas la tête à s’inquiéter de tout cela et se laissa tomber sur le sol écartant ses bras et ses jambes soupirant profondément fermant les yeux. Se laissant aller dans un semi sommeil pour récupérer de sa marche. Il resta un peu sur ses gardes, mais voyant qu’il était seul avant, cela le « rassura » si on peut dire.